Quelques année après le voyage

J'étais dans cette allée rempli d'enfant et d'adulte, que du beau monde, cela me répunier, de voir tout ce bonheur devant mes yeux, je n'étais pas de se banc la, moi j'étais un tueur, un assassin, tout ce qui l'y a de cruel, autour de moi je semais le chaos, se chaos infernal, sans fin, je regardais tout ces cadavres mort, perdant du sang, tout se sang limité. La, actuelement je voyais des buisson rempli de poison, du poison mortel, jen bavais déjà à l'idée de tuer de nouveau, cela faisait déjà une semaine que je n'avais pas tuer, sa me manquer de plus en plus, tuer violé, tout ce que je faisais pour mon bonheur et le malheur des autres, heureux comme Satan, celui qui ma prit mon coeur de pierre, aussi dure que le métal, lourd pour tout les crimes commis, tout sa. Encore une fois je regardais se bonheur qui me donner cette envie de vomir, puis la, les cerisier, leur gout si bon mais mauvais pour le mal, tout se que je mangeais était légume et je buvais que du sang, le mauvais, le pur, toute les sortes puis j'eus l'envi de fermer les yeux, se que je fis, pourquoi? Non, je ne le savais pas, je ne savais pas se que je faisais, surtout en voyant se vent soufflé, ce qui me glacer le sang, j'aimais ressentir le froid, au moin cela me fesait penser au corp froid, les corps de mes victimes, mort depuis des semaines, ils étaient si froid.

Quelques temps après quelqu'un me bouscula et la un regard noir se posa sur l'adulte, se regard qui voulait dire "Si tu refais sa, t'es mort", se regard si froid, d'ailleur il prit peur et se mit à s'enfuir, et voila, j'étais heureux de voir la peur dans le regard de l'homme, il était minable, tout se qui peut leur rendre leur force bah c'est le courage qu'ils n'ont pas, hm, j'avais fin, aucun légume et si j'avais soif il y avait quoi tenir un ans ou plus avec tout le sang dans leur corp, cette couleur vif et perçente, j'en avais envie mais pour une fois, je voulais avoir comme victime une fille, la violer, lui faire du mal jusqu'a la ridiculiser et la réduir au silence, a, cette journée, bien dure de se retenir en présence de tout ce monde dans cette allée infini de cerisier, je vis alors une belle fille, je ne savais pas se qu'elle fesait içi mais elle était belle et c'est elle que je voulais tuer, doucement je posa ma main sur son épaule et pris mon air simpas qui duper tout le monde et lui dit:

"Bonjour damoiselle, quel est ton nom?".

Je lui fis un sourir simpatique pour éviter de la faire fuir, je détester sourir mais j'y étais obliger, cette fille m'attirer et je voulais la tuer, peut être oui ou non, seul le destin aller me dire si elle était celle que je voulais ou pas.

La jeune Maiko était assise tranquillement sur un banc en pierre situé dans l'allée des cerisiers. Que faisait-elle là ? Eh bien, la jeune femme devait attendre l'arrivée d'un des proches d'Okâsan qu'elle devait conduir à la maison de thé car celui-ci n'était jamais venu. La vieille femme l'avait obligé à porter un des plus beaux kimonos de la maison de thé mais le plus pesant. Il était extrèmement beau car il était composé de pleins de couleurs différentes, la ceinture était violette foncée et de belles broches ornaient sa coiffure. Pourquoi la propiétaire de la maison de thé avait voulus qu'elle se vétit d'une manière si...enfin si riche ? C'était louche mais bon, Sayhuri ne pouvait faire autrement car elle ne devait pas contester ses ordres. Peut être que ce visiteur était quelqu'un de très haut placé dans la hiérachie japonaise ? Peut être était-ce un Shogun ou un samouraï très célèbre ? Enfin bon, la Kyoshi devait rester calme, être la femme très râffinée, la femme distinguée qui faisait réver les hommes. Okâsan avait aussi désiré que la Maiko apporte avec elle un présent pour l'invité, une bouteille de saké enveloppé dans un tissu rouge passion avec un petit mot que la Kyoshi ne devait pas lire car il était destiné à l'homme qui viendrait.

Donc, Sayhuri attendait patiemment l'arrivée de la connaissance de la propriétaire de l'Okiya. Le temps était vraiment parfait pour une petite visite de la ville. Le soleil illuminait tout Tokyo de ses rayons, les nuages étaient partis se cacher derrière le Mt Fuji laissant donc le ciel parfaitement bleu, bleu comme les yeux de la jeune japonaise. Le vent caressait sa peau peinte de blanc et le bout de ses lèvres rouges sang. Son petit paquet posé sur les genoux, la belle Maiko s'éventait le visage avec son éventaille qu'elle tira de son obi. Elle observait tout se qui l'entourait. Les petits enfants jouant, les poules poursuivient par un chien, une vieille femme grondant son fils d'âge mure et d'autres personnes qui lui étaient plus ou moin inconnu. Il y avait dans la longue et célèbre allée des cerisiers un vendeur ambulant de pleins de babiolles plus ou moin belles. La Kyoshi ne fit pas attention aux personnes qui se retournaient pendant leur marche pour la regarder, s'imaginant qu'elle ne les remarquait pas. Soudain, quelque chose fit sursauter Sayhuri. Une main d'homme glissa sur son épaule, pensant que c'était l'homme qu'elle attendait, la jeune femme se leva pour l'accueillir mais son sourire qui était apparut sur son visage disparut lorsqu'elle remarqua que ce n'était celui qu'elle attendait.

[Suyoki]-Bonjour damoiselle, quel est ton nom?

La Maiko faillit faire tomber le petit paquet qu'elle tenait dans les mains. Cet homme avait un étrange sourire apaisant qui l'inquiétait un peu. Que voulait-il celui là ? Ce n'était pas très bien vu quand un homme du peuple abordait une Geisha, ici une future Geisha, il y avait la différence énorme de rang et puis c'était inconvenant. Sayhuri glissa son paquet sous le bras, ouvrant son éventail, cachant son visage derrière, laissant juste ses beaux yeux bleus dépasser qui étaient posés sur l'inconnu. Celle-ci lui répondit en béguaillant un peu d'une voix faible.

[Sayhuri]-Euh...Excusez moi mais qui a-t-il ? Je...Enfin je suis une Maiko et je ne peux vous dire mon nom...Qui êtes-vous vous ?

Sayhuri ne lui faisait pas du tout confiance donc préférait jouer la carte de la prudence. Il parait qu'un homme est plus dangereux avec une femme que lorsqu'il est en compagnie d'un homme. En plus, elle ne connaissait même pas cet homme donc elle ne voyait pas pourquoi il lui adressait la parole comme si c'était une vulgaire femme au foyer. La japonaise posa son regard sur le sol pour ne pas croiser celui de l'inconnu et surtout parce qu'elle avait peur de lui et n'avait aucune confiance en lui.

J'étais là, toujours à attendre une réponse de la jeune fille, je regardais tous ses gens pendant mon attente, puis mon regard se posa sur les oiseaux, malgrais que j'étais cruel, la seul chose que j'aimais sauf tuer, était les oiseaux, pourquoi eux ils volaient et pas nous hein? Mistère, bon, mon regard revint sur la jeune femme, elle n'avait toujours pas répondu jusqu'a ce qu'elle sursaute et me réponde, elle avait l'air inquieter, pourtant j'espérais ne pas lui faire peur, elle n'avait pas l'air d'avoir une confience en moi, je comprenais, personne ne me faisait confience donc pourquoi cela commencerer aujourd'hui, hm, il eut un moment de silence, il ne prononça aucun mot devant la beauté de cette fille qui mit son éventail devant son visage, je ne pouvais qu'aperçevoir ses yeux, dommage, je verrais le reste plutard, sans rien dire sur les mots de la jeune fille, je mis ma main sur l'éventail, j'éffaça mon sourir de mes lèvres, un regard sipatique et un peu de vérité dans mon regard puis je souriais à nouveau, un vrai sourir, pas de mensonge, j'inclinas ma tête quelque degrés vers la droite pour aperçevoir le reste de son visage, je retirais ma main quand soudain quelqu'un tomba au sol, un enfant venait de jouer sur une branche, peu importe, je préferais voir le visage de la jeune femme qui ne voulait pas dire son prénom, pas grave, j'allais décliner mon identité avec un peu de vérité, très rare ces moment de vérité et non de mensonge, encore un regard puis une réponse:

"Mon prénom est Suyoki, ne me demander pas se que je fais içi mon histoire est bizare et vous allez sûrment me prendre pour un abruti de service mais êtes vous sûr de ne pas pouvoir me dire votre prénom, je suis sûr qu'il est aussi beau que votre visage et vos yeux, et surtout, je ne vous veux rien, je m'ennuyais et j'ai voulu trouvé une personne avec qui parler".

Un peu de vérité, un peu de mensonge, un beau mélange pour que la jeune femme ne pose pas d'autre question, ah, elle était asser belle mais pas trop mon gout, pas grave, je faisais sa pour le plaisir et rien d'autre, je voulais juste un peu m'amuser comme d'habitude, cette habitude qui m'embéter mais aucune importance, mon regard restait sur la Maiko comme elle l'avait si bien dit il y a peu de temps. L'enfant qui était tomber ne dever pas avoir beaucoup mal pour courir comme un imbécile avec les autres, son regard m'énerver mais je savais garder mon calme.

[Suyoki]-"Mon prénom est Suyoki, ne me demander pas se que je fais ici mon histoire est bizare et vous allez sûrment me prendre pour un abruti de service mais êtes vous sûr de ne pas pouvoir me dire votre prénom, je suis sûr qu'il est aussi beau que votre visage et vos yeux, et surtout, je ne vous veux rien, je m'ennuyais et j'ai voulu trouvé une personne avec qui parler".

Sayhuri regarda un instant le jeune inconnu qui venait de se présenter. Suyoki ? Etait-ce au moin son vrai prénom ? La jeune femme fut un peu charmée par son compliment mais n'y fit rien. C'est comme pour un chien. On lui donne un os et il vous fait un tour, était-elle comme cela ? Devait-elle risquer de se présenter ou simplement laisser cet homme passer son chemin ? La jeune japonaise sentit son coeur se serrer en repensant soudainement à Ichiro qui avait perdue la vie il y a quelques mois de cela. Ses yeux bleus évitèrent à nouveau ceux du jeune homme qui avait l'air ardemment de vouloir la voir. Pourquoi s'acharner alors que la personne ne veut pas ! La jeune Maiko leva ses yeux pour les poser sur l'homme. Elle prit une décision, se présenter puis partir car comme ça il ne continuerait pas à lui demander et elle aurait la paix.

La petite Kyoshi se demanda comment lui dire pour qu'il soit assez convaincut pour la laisser partir sans la suivre. Se présenter comme ça ne lui ferait pas dire que sa n'irait plus loin. Cet homme semblait se ficher complètement des règles de la société, se qui est très étrange d'ailleurs. Son regard laissait paraitre qu'il n'était pas pure, qu'il avait déjà tué. On pouvait aperçevoir les ténèbres de son âme mais lorsque Sayhuri se dit ça, elle ajouta que cela ne pouvait qu'une impréssion. La Maiko regarda les enfants jouer, ils étaient chou et ne devaient surment pas se soucier de leur future comme Sayhuri s'inquiétait pour le sien. La jeune femme observa autour d'elle puis laissa son regard se poser sur Suyoki, elle lui dit avec une petite voix.

[Sayhuri]-Je m'appelle comme la fleure de Lys. Je suis comme elle, belle mais d'une beauté ephémère. Lorsque la neige tombe, elle fond peu de temps après. Il ne faut pas espérer de moi que je sois une femme comme les autre. Je suis une Maiko, je ne dois donner de l'amour qu'à mon art et personne d'autre donc n'espérez rien de moi.

La jeune femme s'inclina légèrement en avant puis détourna son regard de celui de l'homme qui était posé sur elle. Sayhuri regard ses enfants qui s'amusaient sans se soucier de rien. Quand ils rentreront, la plus part embrasseront leur mère et parlaient avec leur père. La famille ne manquait étrangement pas Sayhuri. Ce qui lui manquait était une vrai famille qui l'aimerait contrairement à la sienne, il n'y avait que son père qui l'aimait et peut être sa mère mais sinon, elle n'avait plus confiance en personne d'autre qu'Okâsan et ses amis dispercés dans tout Tokyo. La Maiko annonça d'une voix un peu plus déterminée à l'homme qui l'avait abordé.

[Sayhuri]-Je vais devoir vous laisser, j'attend quelqu'un de très important. Au revoir.

Sayhuri s'inclina une nouvelle fois puis s'éloigna d'un pas un peu rapide pour être normal de Suyoki. La jeune femme s'assise dans un endrois un peu plus à l'écart du monde pour espérer y aperçevoir la personne qu'elle attendait, espérant de plus être dérenger. La Maiko se demanda si l'homme prénommé Suyoki avait comprit se qu'elle avait essayé de lui dire bien qu'elle ne se soit pas présenter complètement.

Pendant que la jeune Maiko s'écartait, je la regardai doucement partir, mon visage n'avait pas une bonne expression, il avait une expression de haine et de souffrance, je n'aimais pas qu'une fille parte comme sa devant moi et sans que je bouge je suivais cette demoiselle tout en regardant le paysage calme, le calme qui pour moi faisait du bruit, je sentais une mauvaise chose, j'observais la Maiko, sans un bruit, tous le monde partais pendant que moi je restais, elle tourna la tête, avec la plus grande des discrétion, je mis une corde très fine sur le coup de la femme et tira cette corde pour brûler la peau de cette personne devant moi, doucement elle se leva et moi je la pris et la colla contre un arbre, de ma poche gauche je pris une dague avec la main droite, la passant sous le menton de Sayhuri, le sourire aux lèvres, le regard d'un fou satisfait de son acte, je fis glisser la dague pour qu'une goute de sang tombe sur cette herbe d'un vert pure, maintenant tacher, elle n'était plus, mes lèvres allèrent vers l'oreil de Sayhuri et je pris la parole:

"J'espere que tu n'as pas trop mal, je suis pas comme ses gens qu'on peut voir, moi je viens d'ailleurs et j'ai besoin de toi pour éviter mon manque de sang, je suis comme un vampire mais en plus gourmant".

Puis mes lèvres s'écartèrent de la demoiselle, mon regard fixer sur le sang qui coulait, mon sourire pour cette vue que du bonheur dans cet acte, merci pour la victime que Satan m'envois. Pourquoi résister à un démon quand il ne reste aucune chance de survie, quand le roi est prit en échec et ne peut plus bouger, on appelle sa la fin, un rire sadique parue de ma bouche, un rire longtemps entendu, comme le retour d'un héros est aceuilli de rire et de joie sauf que la c'était du rire et de la folie, rien de bon pour Sayhuri. Le dague alla coupée une veine de Sayhuri, celle de la main droite, puis mon autre main prit la main droite de Sayhuri et ma langue lécha le sang, comme une sorte de rituel, je dégustais la sang, du sang pure, du sang parfait pour moi, ma langue rentra dans ma bouche, puis lachat la main de Sayhuri, puis je ne fis plus rien, restant le regard dans celui de Sayhuri.

Sayhuri soupira longuement. Mais que faisait-il cet invité ? Se demandait-elle. Allait-il mettre encore beaucoup de temps avant de venir ? La Kyoshi n'avait nullement l'envie de rester plantée là pendant des heures, son paquet à la main et ses yeux sillonnants les environs. La belle japonaise voulut rentrer à l'Okiya, demander à Okâsan si c'était vraiment aujourd'hui qu'il devait venir cet homme, mais apparament, il n'avait pas l'intention d'arriver à l'heure. Il y avait quelque chose qui l'inquiétait. Ce n'était pas l'arrivée de l'inconnu mais ce jeune homme, Suyoki. Il lui faisait froid dans le dos, elle n'avait pas confiance en lui, non ! Elle arrivait à perçevoir en lui son âme souillée par le sang d'innocents, le sang de femmes, d'hommes, d'enfants et de vieillards. Que faisait cet homme là ? D'après Sayhuri, il ne lui avait pas adressé la parole simplement pour parler à quelqu'un, il avait quelque chose derrière la tête...

Soudain quelque chose frotta sa gorge, non l'attira en arrière. Cette chose lui brûla tout doucement la peau fine et douce de sa peau. Sayhuri voulut faire quelque chose mais elle fut prise au dépourvut, attirée en arrière avec une force énorme. Puis elle fut projetée contre un arbre, une grande ombre se dessinait devant elle, si proche d'elle qu'on aurait dit collé. La jolie Maiko au regard bleu ciel observa la silhouette plus fixement, le soleil l'empêchait de voir son visage. Au moment où le soleil se déplaça un peu, la japonaise pû aperçevoir le visage de son agresseur, c'était Suyoki, l'homme qui l'avait abordé juste avant. Sayhuri se sentit compressée, pourquoi faisait-il ça ? Qu'était-il en réalité ? Le visage de la belle femme se crispa lorsque l'agresseur sortit de sa poche une dague acérée. C'est à ce moment là que la jeune Kyoshi paniqua, la lame frôlant sa gorge, se sentant faible, une goutte écarlate s'écoulant le long de sa gorge déjà blessée pour tomber le l'herbe. Le corps faible de la Kyoshi se mit à trembler comme celui d'un enfant lorsqu'il voit son premier film d'horreur. Cette réaction ne lui ressemblait pas, d'habitude elle n'aurait pas réagit comme ça, elle aurait déguainé l'arme qu'elle apportait toujours avec elle. Elle reprit ses pensées quand elle sentit le souffle chaud du jeune homme dans son coup, il lui dit à l'oreille avec une voix à glacer le sang.

[Suyoki]"J'espere que tu n'as pas trop mal, je suis pas comme ses gens qu'on peut voir, moi je viens d'ailleurs et j'ai besoin de toi pour éviter mon manque de sang, je suis comme un vampire mais en plus gourmant".

Le regard bleu de Sayhuri se posa dans celui du jeune homme aux pupilles aussi noir que l'enfer et les ténèbres qui reignaient dans son coeur. Besoin d'elle ? Non, il devait dire ça simplement pour lui faire peur, c'était un tueur et pas un fantassin qui s'amuse à faire peur aux gens juste pour son simple plaisir, il était aussi dangereux que l'Empereur. Le sourire de Suyoki était cruel, elle eut soudain mal au poignet, quelque chose coula le long de son bras, elle baissa le regard pour voir qu'est-ce que c'était. La dague qui lui avait auparavant entaillé la gorgé venait d'entailler une veine de son poignet, une douleur lacinante lui déchira le bras, une larme de douleur perla sur sa joue. Est-ce que ça lui faisait plaisir de voir une femme souffrir devant lui ? Est-ce que sa assouvrissait sa soif de sang ? Pourquoi elle ... Sayhuri se ressaisit un peu, elle bougea un peu puis lui dit d'une voix la plus calme possible.

[Sayhuri]-Vous êtes malade. Il faut vous faire soigner...Vous ne m'aurez pas comme ça, je ne suis pas aussi faible qu'on pourrait l'imaginer...Attrapez moi si vous êtes assez rapide.

Sans crier gare, la jolie japonaise aux yeux aussi pures que l'eau d'une source sortit la bouteille de sake et frappa la tête de l'agresseur avec une force étonnante par rapport à son gabarit puis l'homme s'effondra par terre mais peut être pas pour longtemps donc la jeune femme s'enfuit à grandes enjambés, le plus rapidement possible bien que ses hautes socques en bois soient lourdes, essayant de ne pas trébucher.

Je fus surpris du coup, je ne l'avais pas prévu, telle une migration stoper par un vent imprévu, j'étais à terre, sans concience, j'étais comme endormis, je fus réveiller par un oiseau qui chanté tout comme une princesse réveiller par le doux baisé de son prince, je me releva. D'une grande vitesse je repris mon chemin, suivant les traces de Sayhuri, elle avait osé me donner un coup avec une vulguère bouteille tout comme un hérosqui gagne juste en tombant sur l'ennemi. Bref, j'allais la rattraper, se chemin était rempli de feuille morte, et de terre boueuse, j'avais mes chaussures toute noir mais cela ne m'emppécher pas de continuer mon chemin à grande vitesse, je fus arriver juste derrière Sayhuri puis je fis un bond sur elle en lui prenant les pieds comme un serpent qui encercle sa proie toute chaude, cette fois si je lui mis les cordes aux main et aux jambes pour éviter quelle s'échappe de nouveau, je la pris, posant un doux baiser sur sa joue et en la cognant contre un arbre, puis je pris la parole d'ue voie éssoufler après cette longue course dans cette forêt sombre:

"Tu vas regretter de m'avoir fais cour..courir dans cette foutue forêt et tu vas beaucoup souffrir c'est garantie sur la carte".

Je ressortis une dague, lui enfonçant la dague dans la cuisse droite puis en léchant le sang, elle m'avait insulter de fou, l'insulte que je détestais le plus, je fis une autre ouverture à sa jambe gauche, j'aimais beaucoup son sang, il était bon, aussi bon que le meurtre et aussi bon que le meilleur repas préparer par le meilleur cuistau. Rien au monde était meilleur que cela et moi j'aimais boire son sang, se sang pure, si elle devaut mourir, elle irait au paradis pour un sang aussi pure, je remis mes lèvres sur les siennes et je m'écarta un peu pour la regarder, son corp si beau, comme celui de la déèsse de beauté, elle était divine, comme son sang, aussi belle que l'infermière que j'avais tué autre fois dans le présent. Je léchais encore son sang coulant de sa cuisse gauche, il était bon, je n'allais peut être pas la tué mais juste m'amuser avec du certaine façon, je caressa son visage enfin sa joue droite du bout des doigts, posant mon autre main sur sa taille, lui souriant d'un air pervers en attendant une réaction de sa part.

Quelque chose la fit trébucher. La belle et jeune Maiko s'écroulla sur le sol dure et boueux. Il n'y avait plus personne dans la rue où ils se trouvaient. Comment se faisait-il qu'il n'y ai plus personne ? Etait-elle allée dans une de ces rues sombres qu'une Maiko ne doit pas fréquenter ? Elle n'y avait pas fait attention quand elle c'était enfuit. La jolie japonaise n'aurait jamais pensé que l'homme qu'elle avait assommé peut de temps aurapavant ne revienne si vite. Elle fit projetée en avant et immobilisée sur le champ. La Kyoshi ne pouvait bouger ni ses bras, ni ses jambes, il avait tout prévus ce perver d'assassin. Quand l'homme la poussa contre un arbre, non seulement sa tête cogna fort contre l'épais tronc mais il en profita pour faire glisser ses lèvres trempaient de sang sur son visage doux. Ce baiser volé l'énerva plus que tout mais elle n'avait pas la tête à penser à ça. Son esprit se brouilla un peu après le coup qu'elle avait reçut. Ses yeux bleus claires restèrent clos pendant une longue minute puis la voix du jeune homme assassin la réveilla comme si l'on avait sonné le clairon.

[Suyoki]"Tu vas regretter de m'avoir fais cour..courir dans cette foutue forêt et tu vas beaucoup souffrir c'est garantie sur la carte".

D'après le sons de sa voix, il avait l'air essouflé. Essouflé après se que la Maiko aux yeux d'ange. Il commença à pleuvoir. Des grosses gouttes s'écoulèrent le long du visage encore endoloris de la Maiko. Ses gouttes se mélangèrent aux larmes de souffrance qui apparurent au coin de ses yeux clos. Sayhuri regarda enfin Suyoki aussi calmement que possible vu son état. Soudain, son visage se crispa de douleur lorsque celui-ci enfonça sa dague dans sa cuisse puis goutta du sang qui s'en échappé. Il fit de même pour la jambe droite. La jeune et jolie japonaise avait son visage recouvert par ses cheveux mouillés par la pluie, son kimono lui collait à la peau comme si ce n'était qu'un simple morceau de tissus trempé dans de l'eau. Son visage auparavant recouvert d'une couche de maquillage blanc était toujours aussi blanc, mais pas de maquillage.

Sa voix douce, pure et innocente se fit entendre au moment où Suyoki la regardait de son regard très commun chez certains hommes. Elle ne voulait pas être tuée par cet homme ideux de l'intérieur mais jeune de l'extérieur. Sayhuri souhaitait encore vivre longtemps, ne pas avoir de problème ni avec lui et ni avec personne d'autre. Ses yeux bleus myosotis se posèrent dans l'enfer des siens.

[Sayhuri]-...Vous êtes misérable...Vous ne vallez pas mieu qu'un fils de Shogun. Je...Kerf...Je ne vois en vous que haine, souffrance et désespoire. Vous n'avez aucun avenir parmis les personnes de ce monde si paisible...Vous êtes une TÂCHE !

Sayhuri toussa, essayant de se libérer de ses liens très bien serrés. Elle gesticula, se tortilla, frappant l'homme en face d'elle avec ses pieds nues, son corps tremblant de toutes parts à cause du froid, de la pluie ainsi que de la peur. Heureusement que la japonaise portait un épais kimono avec plusieurs couches car il était déjà transparant à certains endrois. D'un geste d'épaules, elle essaya de refermer l'entrouverture qui s'étaient ouverte au niveau de sa poitrine, c'était génant mais elle réussit à se cacher juste avant que l'agresseur ne le remarque. Elle lui dit d'un ton venimeux.

[Sayhuri]-Vous êtes méprisable !

La jeune femme sentit les doigt de son agresseur lui caresser le visage. Elle arrivait à peine à le distinguer, la pluie se faisait battante, elle frappait le sol comme l'on battait un tapis. Sayhuri sentit son sang bouillir dans ses veines, elle éprouvait une haine énorme envers cet homme qui avait osé la réduir en une chose si infime qu'elle n'était plus rien. La Kyoshi était par terre, immobilisée, son kimono trempé ainsi que son corps tout entier, le sang coulant de ses blessures.

Elle me fit des remarques, je restais la, sans un mot, comme un muet, elle était à terre, à ma merci, comme j'aimais sa, je ne savais pas trop quoi faire d'elle, elle était comme les autres, un simple objet, je mis une de mes main sur son sein gauche, elle allait voir beaucoup de chose la dessus, elle était belle, tèlement belle que je ne voulais pas lui faire trop de mal, elle allait juste un peu souffrir, je me mis sur elle, au niveau de sa taille, assi écartent les jambes pour éviter de lui faire mal, je remis mes lèvres sur les siennes, passant ma langue dans sa bouche, la faisant tourner, d'une petite vitesse, savourant se moment, je me retira, enfin juste mes lèvres et ma langue, il ne fallait pas être trop gourment avec elle. Mon autre main si mit derrière sa tête, la relevant un peu, caressant son sein puis ma main passa à son coup, je mis mes lèvres sur son cou, le suçant un peu, comme un vampire en manque de sang, j'en eus marre, je n'arrivais pas à lui faire de mal, je la releva en même temps que moi, puis je le pris par les cheveux, je lui enleva les cordes, puis je partis en courant mais je fus surpris par un arbre, je tomba à terre, devant elle, cette fille, qu'allait elle me faire à moi, je ne voulais surtout pas quelle me donne ne l'amour car les blessure physique et mental ne me toucher pas, seul se sentiment de tendresse me faisait mal à un point que je ne voulais pas le ressentir. Je repris connaissance deux minutes après, elle n'eut pas le temps de me toucher mais moi je me releva pour aller derrière un arbre non loin d'elle pour me reposer et la reprendre d'assaut, j'espérais qu'elle ne me retrouve pas pour le moment, cert elle était belle et intelligente mais elle ne devait pas être très discrete avec tout sa puis ses branches au sol qui craquaient toutes les deux secondes.

Sayhuri se sentait si faible, si misérable, qu'elle ne remarqua pas tout de suite qu'elle fut libéré. Elle avait sentit quelque chose de chaud contre elle, dans sa bouche, surment ce jeune homme qui en avait profité. Des larmes de hontes glissèrent sur son visage déjà trempé. Comment avait-elle pû se faire traiter de la sorte ? On aurait dit qu'il embrassait une simple courtisane de passage. La jeune Maiko souffrait autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Il n'avait pourtant pas été violant, enfin pas trop. La japonaise ne sentait plus qu'un petit peu le sang qui coulait le long de ses cuisses, sortant des plaies qu'il avait faite. Elle les observa un instant, le visage pâle comme la neige, ses cheveux sales et boueux, son regard vide du moindre sentiment. Cette journée avait bien commencé mais avait finit très mal. Il ne faut pas se fier aux apparances, cet homme n'était pas aussi innocent qu'il n'en avait l'air et son regard ainsi que son souffle empestaient la haine, le sang et les cadavres.

La Kyoshi ouvrit grand ses yeux bleus. Cela faisait bien 15 minutes qu'elle était allongée là, à ne rien faire d'autre que s'appitoyer sur son sort. Sayhuri ne sentit plus la pluie battante contre sa peau. Le ciel bleu avait réaparut, le soleil ébouit le visage pâle de la pauvre Maiko. Elle se cacha le visage avec ses mains encore tremblantes, des gouttes de sangs tombèrent sur son visage. La japonaise se ressaisit, ce n'était pas prudent de rester ici encore longtemps. Sayhuri arracha un bout de tissu de son kimono, elle se l'entoura autour de la cuisse droite puis fit pareille puis la jambe droite ainsi que pour son poignet. Ah ! Si Okâsan voyait ça ! Sayhuri se ferait non seulement gronder mais en plus, elle insisterait pour qu'elle ne sorte plus du tout. Heureusement qu'il n'était pas allé plus loin, ça aurait nuit au future de la jeune et jolie japonaise arrivée dans se monde en ne connaissant rien.

[Sayhuri]-...Je vais rentrer. Je parlerais de cette rencontre à Hataru-san, il sera surment étonné, en colère ou même choqué par mon imprudence mais lui seul me rassurera. Je demanderais aussi à Okâsan pourquoi la personne qui devait venir n'est pas venu ? C'est étrange...Enfin bon, a mon avis, je le reverrais celui là...

Et la Maiko rentra chez elle, boitante, repensant à se qui c'était passé juste avant et comment le jeune homme était partit, se qu'il lui avait fait et dit. Sayhuri n'aurait jamais pensé que cette journée ne se finisse comme ça, personne ne l'aurait parié.

[TOPIK FINIS]