Retrouvailles mouvementées [HRP][Pv Suyoki]

La jeune Maiko se réveilla de bon matin lorsque le soleil commençait à peine à montrer le bout de son nez. Il prévoyait de faire chaud d'après la couleur orangée des nuages qui se trouvaient dans le ciel infini. Dès qu'elle se leva, Sayhuri se sentait déjà étouffée, elle dû vite ouvrir les fenètres en papier pour ne pas étouffer dans cette chaleur insoutenable. Et en plus, elle devrait porter un kimono. Bon sa va, Sayhuri savait que la servante qui l'aidait à se vétir chaques matin verrait qu'il ne fallait pas qu'elle porte un kimono trop épais à cause du temps. Bien sûr, elle n'échapperait pas à la tradition de l'habituelle maquillage. D'ailleurs, c'était la chose la plus embêtante qu'il soit, ce maquillage ! Heureusement qu'elle n'avait pas prévus de rester à l'intérieur aujourd'hui car sinon, elle serait 'morte' de chaud.

Comment appliquer le maquillage d'une Geisha ? Eh bien déjà, Sayhuri ne le fait pas toute seule. Vu qu'elle n'est Maiko que depuis quelques semaines, c'est la servante de l'Okiya qui s'en occupe. Maya, la servante, prépare une poudre blanche comme la neige qui colle à la peau, elle est si fine qu'on croirait le maquillage de nos jours. Avant d'étaller la poudre avec un gros peinceau, Maya nettoie le visage de la Kyoshi avec une substance dont elle ignore encore le contenue mais qui à pour effait de nettoyer la peau de toutes les impuretés, une sorte de masque hyper actif. Une fois la peau saine, elles passent une bonne quinzaine de minutes à l'étalla de la poudre qui ne doit pas toucher les cheveux ni les oreilles mais qui recouvre toute la partie supérieur du corps jusqu'à la poitrine, une Geisha ne doit pas exiber sa peau. Quand on ne voit plus que les yeux de la jeune Maiko, même ses sourcils noirs sont cachés par la poudre, Maya fait brûler un morceau de charbon et teint ses sourcils avec, pratique ! Ensuite, la touche finale ! Le 'rouge à lèvres'. La servante applique sur la lèvre inférieur un baûme rouge sang d'abord sur la lèvre inférieur de la jeune femme ensuite sur la lèvre supérieur puis maquille légèrement ses yeux pour les rendre plus...Hypnotiques.

Spoiler:

C'était le rituel habituel du matin. Aujourd'hui, la jolie japonaise portait un ravissant kimono rose pâle à fleurs. Elle en portait rarement des aussi beaux donc elle était contente sauf qu'il lui tiendrait légèrement chaud mais bon, elle le supporterait, comme pour tous les autres jours de l'été. Contrairement à certaines Maikos ou Geishas, Sayhuri ne portait pas de péruque car elle avait la chance d'avoir de longs cheveux noirs, parfait pour les coiffures traditionnelles, certaines avaient les cheveux brins ou trop courts. Sayhuri était fin prète pour une nouvelle journée qui s'annonçait longue. Le soir, elle devrait normalement discuter avec Okâsan de la rencontre étrange qu'elle avait faite. Cet homme étrange....Enfin bon, mieu vallait ne pas y penser, ça ne ferait qu'agraver les choses.

Sayhuri sortait d'une démarche assez lente de l'Okiya, si elle marchait trop vite, non seulement elle aurait plus chaud mais elle risquerait aussi de s'essouffler plus vite. Si elle tombait dans les pommes, elle se ferait mal voir et donc Okâsan la sermonnerait. La Maiko devait aller aujourd'hui au temple pour faire une prière à son dieux protecteur, celui qui lui a permit de rester en vie dans ce nouveau monde et d'avoir une bonne cituation. Okâsan disait toujours, tout comme Hataru lui avait dit dernièrement, qu'il faut toujours remercier Dieux pour se qu'il nous a offert. Il y a déjà Okâsan pour qui elle voulait prier, pour sa gentillesse et son aide quand elle a des problèmes ou qu'elle est en difficultés. Ensuite il y a Hataru, et puis son amie Maya pour toute son aide qu'elle lui offre.

Ah ! Il y avait bien des personnes à remercier dans ce monde mais le temps ne suffisait pas pour faire une prière pour chacunes d'elles. Sayhuri se trouvait dans les allées du temple. Le jardin du temple était énorme, une vrai merveille de la nature. D'après une légende, se fut le Dieu lui même qui créa ce jardin. C'est l'un des plus grand de tout le Japon mais il y a rarement des personnes qui s'y promènent. De temps en temps, les Geishas se balladent après avoir prié mais seulement lorsqu'elles ont le temps pour le faire. Sayhuri, elle, décida que après avoir prier, elle viendrait ici pour profiter de la solitude et du calme de cet endrois merveilleux, presque magique.

Le jardin:

Spoiler:

La jolie japonaise se balladaient dans les allées du jardin du temple lorsque soudain, elle fut prise d'une folle envie de repos, une sorte de 'coup de pompe'. N'avait-elle pas assez dormit la nuit dernière ? Pourtant aucun mauvais rêve ne lui avait empêcher d'atteindre le pays des rêves, étranges...Enfin bon, Sayhuri s'assise à l'ombre d'un arbre, admirant la beauté du paysage autour d'elle, personne ne marchait ici, parfait pour se reposer sans que personne ne la dérenge. Personne...Le rêve...La Maiko ferma ses yeux, profitant du calme présent pour piquer un petit somme.

Après sa nuit mouvementé de mauvais pas, Suyoki arriva dans le temple des Geishas, prenant du mal à entré sans se faire voir, il fut poursuivi par deux gardes, il n'arrivait pas à les semé, il sauta une grille en métal, continuant son long chemin, il passa par de sombre chemin, dans le jardin, rempli d'arbre et de fleur, il s'agrippa à une branche, se retournant deux fois et sauter de nouveau mais cette fois si au dessus un petit mur en pierre, il n'était pas encore fatiguer, pour lui cela n'était que le début de l'exercice. Quelques pas après il fut entouré de gardes, deux à droites, deux à gauches, un devant et un derrière, il sortit une dague, courant vers un des gardes et le prenant par le dos, lui mettant la dague sous le cou, menaçant les autres d'une voie agressif et arogante, il leurs dit:

"Bon, on va y allait doucement les amis, la rigolade est terminée, vous allez me laisser passer, mais vue que la réponse sera négative, il me reste une chose à dire TODOMEDA".

Todomeda vouler dire le coup de grâce en japonais, il égorgea le garde, les autres étaient surpris et Suyoki en profita pour courir, le reste des gardes étaient derrière lui, toujours à la suivre, ils couraient tous très vite, ils arrivèrent après dans la forêt, la course était encore plus dangereux dans cette environnement, il commençait à s'épuise en arrivant au milieu de la forêt. Net, le jeune assassin s'arréta, regardant à droite et à gauche, les gardes n'étaient plus la mais la cloche sonna, cela vouler dire que quelqu'un c'était introduit dans le quartier, Suyoki marcha jusqu'a sortir de la forêt. Il fut très étonner de voir une jeune Maiko, mais cette Maiko, il l'avait déjà vue, c'était la ravissante Sayhuri, Suyoki était très heureux de revoir son ancienne victime, doucement il s'approcha, elle était assise dans l'ombre d'un arbre et elle ferma les yeux, il la regarda quelques instant sans bouger, comme une personne admirant une star. Puis, après quelques secondes, il continua de s'approcher, il se mit accroupi devant elle, il prenait de nombreux risques en faisant mais il le faisait pour revoir les yeux de la Maiko, il sourriat puis il posa une de ses mains sur l'épaule de Sayhuri, doucement et lui dit:

"Alors, comment allez vous depuis notre petite virée dans la forêt, avez vous apprécier que votre sang pure soit étalé dans la fond de ma bouche, j'ai très bien aimer, il faudrait qu'on refasse sa, quand dites vous ?".

Suyoki attendit une réponse de Sayhuri, avc beaucoup de patience, elle allait être très surpris de revoir cette amies d'une certaine façon, voir le sang de la Maiko coulait aver donner l'envi à Suyoki de lui parler de nouveau.

"Alors, comment allez vous depuis notre petite virée dans la forêt, avez vous apprécier que votre sang pure soit étalé dans la fond de ma bouche, j'ai très bien aimer, il faudrait qu'on refasse sa, quand dites vous ?"

Sayhuri sursauta lorsqu'elle entendit cette voix lui glaçant le sang comme un froid Sibérien. La jeune femme reconnut cette voix même avant d'ouvrir les yeux. Cette personne à qui appartenait cette voix n'était autre que...l'homme qui l'avait agressé l'autre jour. C'était une étrange coincidance de le voir ici. Ses yeux bleus s'ouvrirent, son regard fut encore plus appeuré qu'à leur dernière rencontre. La jeune Maiko poussa une petit crit ressemblant plus à un glapissement qu'à autre chose. Mais que faisait-il ici ? Ne devait-il pas être loin d'ici ? En train de tuer une victime au hazard pour son pure et simple plaisir ? Mon Dieu que cet homme était effrayant. Son aleine puait la chaire humaine, le sang ainsi que d'autres parfums indescriptibles. Sayhuri qui pensait pouvoir se reposer tranquillement à l'ombre d'un saule n'avait pas pensé se faire dérenger par une vieille connaissance qu'elle avait rencontré il y a peu de temps.

L'expression du visage de la jeune et jolie japonaise montrait qu'elle était aussi effarée que étonnée de le voir ici, en face d'elle. Elle qui n'était venue que pour rendre hommage à ses proches et pour profiter du calme que lui offrait la nature. En matière de calme, c'était raté. En plus, comment avait-il réussit à entrer dans le temple ? Il était interdit d'accès lorsqu'une Maiko venait prier, ce qui était rare. Des gardes très bien entraînés s'occupaient de la protection du lieu sacré, mais celui-ci avait réussit à les passer sans aucun problème. Normalement, toute personne venant en ces lieux ne peut courir aucun danger car ces lieux sont très bien protégés.

[Sayhuri]...Mais qu'est-ce que ?!!

La charmante Maiko au visage aux traits tirés par la peur bégeilla. Elle se releva rapidement puis se déchaussa, menaçant l'homme de sa soque de bois, une arme dangereuse si elle est bien utilisée. Sayhuri lança aveuglément la soque de bois sur l'agresseur qui l'évita sans problème puis elle s'enfuit, aussi rapidement qu'elle le pû, comme la dernière fois. Sayhuri ne voulait pas que ça se passe comme la dernière fois car elle s'en était tiré très mal. D'ailleurs, elle courut vers la sortit qui devait se trouver non loin de là. La Kyoshi aurait pû crier de toute ses forces, personne ne se trouvait dans cet immense jardin béni. Sayhuri se perdit dans ses pensées, où se cacher pour que l'homme ne la retrouve pas ? Comment faire ?

*...Peut être que si je me cachait au temple, il ne me trouverait pas ? Derrière la statue de Bouddah ? Oui ! Elle est assez grande ! Ou même dans la petite pièce qui sert de placard à balais ? Oui ! Là bas, il ne me trouvera pas ! Enfin, sa m'étonnerait...*

Suivant ses intuitions, ne sachant pas si elles étaient bonnes ou mauvaises, Sayhuri se dirigea vers le temple où elle s'était retrouvée peu de temps auparavant. Elle traversa de nombreuses salles en courant, pieds nues vu qu'elle avait abandonné ses lourdes soques en bois pour courir plus vite et plus facilement. La douce Maiko se retrouva dans une pièce juste assez grande pour 3 personnes remplit de reliques quelconques et de pots en tous genres. Elle se câla entre deux étagères, priant tous les dieux pour que l'homme dangereux ne la retrouve pas.

*Je vous en supplie, faites qu'il s'en aille*

Suyoki se prit la soque de bois sur l'épaule, cela ne lui fit qu'une infine douleur, qui disparut deux à trois secondes après, il la suivit ensuite, passant par les même chemin, heureusement il n'y avait pas de garde ici mais Suyoki perdit Sayhuri de vue, où était elle passer, cette garce se disait-il, cherche n'était pas une chose qui la passioner dans sa vie, mais pour retrouver Sayhuri, il le ferait, goûter de nouveau ses fine lèvre lui donnant de folles envies. Il prenait beaucoup de mal à la retrouver, il avait bientôt raticer tout les lieux de se fichu temple sans importance, puis s'arrétant dans un couloir il se stoppa, il entendit une personne respirer, il souria et ouvrit la porte du placard, la charmante Sayhuri y était planquer, il ferma la porte derrière lui.

Il faisait un noir total dans cette pièce quand la porte fut fermer, il eut du mal à prendre Sayhuri mais il le fit, la prenant par le bras, la collant sur lui et l'embrassant fougouresement, ses lèvre avait un meilleur goût que la dernière fois, il passa une de ses main sur les fesses de Sayhuri, profitant de se moment avec elle malgrais qu'elle était contre mais forcer à le faire, il sortit ue dague, la mettant derrière le dos de la maiko, la menaçant de la tué si elle ne faisait pas tout ce qu'il lui disait ou si elle ne se laissait pas faire. Des menaces qu'elle devait prendre au serieux car Suyoki ne rigolait pas avec tout sa.

Il continua de la toucher sans s'arreter, cette fois si elle n'aura aucune chance de partir, la placard fermer, dans se noir, elle pouvait crié mais Suyoki l'égorgerait sur le champ et sans pitié. Il la colla cintre le mur, toujours son corps coller au sien, mettant une de ses main dans son cou pour l'embrasser sans difficulter, puis il glissa sa main dans les habbit de Sayhuri pour toucher ses fesses directement, les caressant doucement avc sa main chaude, ses fesses étaient divine, elle était comme une fleur qui venait de germer, et Suyoki était l'abeille qui venait lui prendre son nectar. Suyoki continua d'embrasser Sayhuri avec passion.

Le noir totale...C'était effrayant de se sentir compresser dans un endroit sans fenêtre, comme seul moyen de sortit une porte au fond. Il y avait des étagères d'époque en bois, les petites échardes qui dépassaient pouvaient s'enfoncer facilement dans la peau, faire perler le sang. La dernière fois qu'elle c'était retrouvée dans un endroits pareille c'était dans son autre monde. Enfin c'était le soir de noël. La famille Kyoshi vivait dans une grande maison, il y avait un immense jardin à l'extérieur de la grande bâtisse. Il s'étalait sur une centaine de mettre à la ronde. Des dizaines d'arbres étaient plantés sur cet immense terrain ainsi que de magnifiques parquets de fleurs diverses. Le père de Sayhuri aimait beaucoup les plantes exotiques qu'il gardait dans une serre au fond du jardin, c'était l'endroit où, étant petite, elle passait la plus part de son temps avec son père. Ils avaient passé des moment inoubliables, même la mère en était jalouse du temps qu'ils passaient ensemble mais la jeune Maiko ne s'en était jamais rendu compte, que sa mère était une vipère si dangereuse que même le plus puissant et le plus féroce des lions se plierait sous ses ordres comme un esclave devant son maître.

Revenons en à ce moment où elle fut enfermée dans la cabane du jardin. C'était donc le soir de noël. Enfin c'était après la séparation de ses parents. Son frère Shishimaru, ses cousins et elle devaient jouer un cache cache. Bien sûr, la jeune Kyoshi ne voulait pas mais on l'avait convainc du contraire, à ce moment là, elle c'était rendu compte de la cruauté des gens. Les enfants étaient donc tous cachés dans un endroit secret, c'était à notre petite Sayhuri de compter et de chercher ses petits amis. Une fois qu'elle eut finit de compter, la jolie japonaise partit à la recherche des enfants dans tous le jardins, elle n'en trouva pas et pourtant ils devaient se cacher dans le jardin. La Kyoshi s'arrêta devant la cabane du jardin qui était grande avec un petit toit, elle entra à l'intérieur et à ce moment là, il n'y avait plus rien. Un des enfants, surment Shishimaru, l'avait enfermé pendant plus de deux heures dans la cabane du jardin, elle n'avait jamais eut auparavant plus peur, en plus, sa mère l'avait grondé et non son frère...

La jeune Maiko tremblait de peur, sentant des sueurs froides lui traverser le long du dos. Elle se mordait les lèvres jusqu'au sang, l'odeur métallique du sang se répandit dans toute sa bouche. La Kyoshi avait tellement mal à la poitrine, son coeur battait si fort qu'elle crut qu'il allait sortir de sa poitrine, c'était douloureux. La peur la prenait à la gorge, c'était insoutenable. Elle joignit ses mains au niveau de son menton, elle ferma ses yeux puis se concentra sur une prière aux Dieux, Sayhuri pria pour que les Dieux soient cléments, qu'ils induisent l'assassin en erreur, qu'il s'en aille ou qu'il ne la trouve tout simplement pas, qu'il parte loin d'elle pour ne plus jamais la revoir.

*Je vous en supplie, faites quelque chose pour moi, il est...*

Soudain, la porte s'ouvrit à la vollée et une silhouette apparut au pas de la porte, c'était cet homme, Suyoki. Il ferma la porte derrière lui et s'approcha d'elle, Sayhuri recula plus qu'il avançait, elle était pétrifier, seule dans la pièce avec lui, c'était sucidaire. Celui-ci la colla contre le mur le plus proche, l'embrassant, la caressant, c'était insupportable. Il la menaçait de son arme si elle ne répondait pas à ses hélant de désir. Pourtant, la jeune femme se débattait, ne craignant ni ses coups ni son arme. Ses baisers emplis de passion, elle les évité, détournant sa tête, son regard et essayant de s'enfuir. La jeune Kyoshi frappa les parties sensibles masculines puis s'enfuit, s'arrêtant devant la porte, la frappant de toute ses forces, essayant de a défoncer avec l'épaule mais rien. Sayhuri continua veinement de frapper, se mettant à crier de toutes ses forces pour que quelqu'une l'entende.

[Sayhuri]-A L'AIDE !!!!! AIDEZ MOI !!!! JE SUIS ENFERMEE !!!! AU SECOUUUUUUUUUUUUUUURS.

Suyoki se prit un coup dans ses parties intime, il se plia en deux pendant que Sayhuri tappé sur la porte du placard en hurlant et éssayant de déffoncer la porte, après quelques minutes le tueur se releva, mit une de ses mains sur les lèvres de la jeune fille pour éviter qu'elle hurle comme une dingue, puis il recula de nouveau, posant son autre main sur une de ses seins, le touchant et le caressant doucement, elle allait sûrement refaire des siennes, ou encore le frapper dans ses parties intime, Suyoki sans ficher, il voulait juste la violé et peut être la tué après si il n'aurait plus besoin d'elle, c'est ce qu'il faisait avec toute ses autre victimes mais c'est alors qu'il eut une idée, il relacha la Maiko puis la regarda pour ensuite lui adresser la parole amicalement:

"Je te laisse une minute d'avance, si tu arrive à me faire courir beaucoup je te promets de te laisser en vie".

Puis il ouvris la porte du placard, laissant le chemin libre pour que Sayhuri cour, ce jeu allait être amusant pour Suyoki, laisser la fille courir pendant que lui aller la suivre, et si il ne l'avait pas eut au bout de un quart, il lui laisserait la vie sauf, mais il continuerait de la traquer, il avait promis de ne pas la tué mais pas d'arreter de la harceler, il savait très bien s'y prendre avec les filles comme sa, se jeu allait être très marant, puis Suyoki allait pouvoir se dégourdir les jambes, il y avait longtemps qu'il n'avait pas courut dans un endroit rempli de garde et à la poursuite d'une jeune et belle fille comme cette charmante Maiko qui paniquait à chaque contact de Suyoki. Cela le faisait un peu rigoler, et c'est pour sa qu'il laissa un petit rire s'échapper de sa bouche, un petit et léger rire sadique en regardant Sayhuri qui s'avança vers la porte doucement et calmement, elle avait toujours peur, cela pouver se voir dans ses yeux d'un magnifique bleu.

"Je te laisse une minute d'avance, si tu arrive à me faire courir beaucoup je te promets de te laisser en vie".

Sayhuri ne se le fit pas dire deux fois, elle partie à une vitesse étonnante pour une femme en kimono, peids nues c'était plus facile qu'en soque. Elle se rappela des gestes intimes de l'homme tout en courant. Ses baisers langoureux, ses caresses et ses paroles. La Kyoshi était étonnnée de voir cet homme qui s'acharnait tellement sur elle. A son autre époque, il n'y avait pas d'hommes comme ça, enfin elle n'en avait jamais vu. Dans son monde, les femmes donnaient leur avis et les hommes se pliers à leurs décisions. Ici c'est complètement différent. La seule femme qui à le droit d'imposer ses décisions est l'Impératrice, sinon toutes les femmes doivent se pliers aux désirs ainsi qu'aux ordres des hommes de ce pays. Jamais elle n'avait vu une femme répondant à un homme dans ce monde, jamais elle n'en avait vu tenir tête à leurs ordres, jamais, elles étaient si faible, si serviles qu'elles lui faisaient pitier.

La jeune Kyoshi ne l'entendait pas derrière elle. Il est vrai qu'il lui avait laisser une minute, pendant ce temps là, elle avait eut le temps de s'enfuir ou du moin de trouver la sortit du bâtiment assez rapidement. Sayhuri c'était retrouvée à l'extérieur, elle descendit puis s'arrêta un instant, tendant l'oreille pour écouter si l'homme la poursuivait, on pouvait entendre ses bruits de pas lointains, c'était le moment ou jamais pour sortir et chercher de l'aide auprès des gardes mais en premier lieu sortir de cet endrois. Les faits et gestes de Suyoki revinrent dans l'esprit de la belle Maiko en petites images, comme la vision d'un enfer. Il l'avait en partir violé mais heureusement il n'était pas allé plus loin, elle lui en était un peu reconnaissante. Sayhuri courait dans le jardin, cherchant la sortit entre ses nombreux arbres.

*...Mais...Où est la sortit ? Je dois vite la trouver...*

La jolie jeune japonaise se retourna et vit Suyoki sortir du bâtiment, elle n'attendit pas plus longtemps. La Kyoshi s'enfuit à toutes jambes, passant entre les arbres, se souvenant du chemin qu'elle avait emprinté pour venir. Elle n'y venait pas très souvent et vu que cet endrois était gigentesque, on pouvait facilement s'y perdre. Plus Sayhuri s'approchait de la sortit et plus la végétation était dense. Elle était entourée d'arbres tous différents, aux fleures magnifiques, elle faillit se perdre dans la contemplation de cette belle nature pendant qu'elle courait, ça la prit en traitre. La belle Maiko trébucha à cause de son long kimono, s'étallant par terre et manquant de très près de se cogner à l'arbre en face d'elle. Sayhuri se redressa et vit Suyoki, en face d'elle, comment avait-il pû faire pour être aussi rapide ?

[Sayhuri]....Oh....Mince....

Le jeune homme vit Sayhuri partir d'une grande vitesse, comme promit il lui laissa la minute puis il sortit du placard à son tour, la voyant prendre le chemin du jardin il escalada un mur, le sautant sans difficulté, puis il courra vers la forêt, continuant son chemin dans la forêt et faisant demi tour pour prendre le chemin du jardin, comme sa il pourrait faire face à Sayhuri. Quelques minutes plus tard il fut arriver à quelques mettres du jardin et il entendit quelqu'un trébucher, c'est alors qui courra plus vite et arriva devant Sayhuri qui se redressa, elle devait se demander comme il avait fait mais cela était un petit secret pour lui, c'était une bonne stratégie, et comme les magiciens, il ne révele jamais ses secrets mes plus convaincant pour le public, Suyoki prit alors la parole tout en collant Sayhuri contre l'arbre, l'attachant contre cet arbre, il lui souria sadiquement avant de dire:

"Je n'es pas asser courut et tu as été une victime trop facile à avoir donc je vais peut être devoir mettre fin à tes jours pour de bon ou te laisser en vie et te traquer jusqu'a ta mort belle Sayhuri".

Puis il déchira le haut de son kimono en signe de menace, il en avait mart pour aujourd'hui et il voulait la laisser partir et le reprendre de chasse un autre jours, plus il la traquait plus c'était facile de l'avoir, elle pourrait au moin prendre une arme sur elle au cas où, cela était d'un ennui total pour Suyoki, il la détache et lui décolla une gifle en guise de punition puis il lui donna un coup de pied fulgurant dans le ventre, elle tomba à terre et Suyoki courut jusqu'a la sortie du temple, les gardent ne le vîrent, il passa sans danger et plus une trace de son passage dans le temple sauf Sayhuri qui l'avait vue.

» Suyoki Doki