Rencontre du destin ? Rencontre innatendue ? [HRP: Part1] [Pv : Hataru]

Hataru se leva tôt aujourd'hui, il décida qu'il devait aller s'entraîner, selon ses informations, des assasins pourraient essayer de tuer des personnes à Tokyo et Hataru voulait les protéger.

Il s'habilla et se mit dans son uniforme traditionnel, c'est à dire en une sorte de Kimono bleu clair, ce "kimono" est asser large pour faire des mouvement accrobatique, roulade, et même pour masquer sa chair, c'est à dire que sa tenue est asser grande pour faire croire que sa chair touche le tissu alors que sa peau est intacte. Cela est très pratique lors des combats, il peut simuler quelques instants une fausse blessure.

Hataru sortit de son appartement et décida d'aller prendre d'abord un thé, les Maikos servent de très bon thé pour les samourais et Hataru le savourent jusqu'a la dernière goutte.

Hataru se dirigea donc vers le quartier des Maikos, il arriva asser vite et alla prendre un thé. Lorsque la dernière goutte fut engloutie, il décida d'aller d'abord prendre l'air et il demanda à sa serveuse où il pourrai aller pour se relaxer quelques temps, elle lui conseilla d'aller prendre l'air dans un jardin, plus particulièrement dans un jardin remplis de fleurs et de cerisiers. Hataru sourit, il savait désormais où aller prendre son temps de repos. Il paya l'addition et s'en alla dans la direction proposée par la serveuse.

Il y arriva en quelques minutes et fut stupéfait par la beautée du paysage. Il se dirigea vers un banc pour méditer. mais il remarqua qu'une jeune femme, jolie en plus, admirait elle aussi le paysage. Hataru vit en elle comme une lumière, cela étant du surement à cause du soleil mais Hataru la fixa, il se demandait que était cette femme. Mais il se repris et croisa ses jambes tout en détournant son regard, il ne devait pas être déranger par une femme pendant qu'il méditait. Bien sur, seul les samourais connaissent les secrets des méditations et du calme impossée. Personnes d'autres ne les connait.

*Il ne faut pas que je commence à pensée aux femmes, si mon coeur devient s'affaiblit devant une femme, je ne pourrai pas protéger les innocents correctements.*

Hataru ferma les yeux et se concentra profondement.

Que ce calme était agréable. Pleins de Geishas marchaient accompagnée de personnes plus ou moins importantes. Les Geishas ! Ah ! Femmes du crépuscules et de l'art ! Il faut bien des années pour le devenir bien que Sayhuri ai dû le devenir en quelques semaines. Enfin elle était déjà aidé par son talent en danse et en chant mais il ne fallait pas seulement ça ! Il fallait de la volonté et du charme pour le devenir, c'était un entrainement long et difficile...peut être ni arriverait-elle jamais ? Déjà rien que l'idée de devenir Geisha était une chose étrange. Elle devait aussi trouver le moyen de retourner chez elle bien que pour l'instant, elle doive gagner de l'argent pour vivre. Si jamais Sayhuri n'arrivait pas à trouver un moyen pour retrouver chez elle, elle vivrait ici à jamais. Okâsan, la propriétaire de la maison de Geisha lui avait bien dit un jour, son premier jour, c'était une phrase qui resta à jamais gravée dans son esprit.

[Okâsan]-Sayhuri Kyoshi...Désormais tu vivras ici en tant que Maiko, apprentit Geisha. D'après se que j'ai entendu de ton histoire, tu vis dans un monde totalement différent de celui là donc tu devras t'y faire...Ici tu devras être une image de grâce et de finesse. Tu dois faire se qu'on te dis. D'après moi, tu ne pourras pas revenir chez toi d'une manière facile donc tu devrais te faire à ce monde. Sayhuri...Lorsque tu seras enfin une Geisha, tu devras, pour vivre une belle vie, avoir un Danna. Pour cela, tu devras faire tes preuves dans ce monde mystérieux. Je ne t'aiderais pas, tu devras découvrir ton destin par toi même. Vie dans ce monde ! Apprend à être la plus grâcieuse des Geisha, l'une des plus célèbre et ta vie sera plus belle que pour surment certains autres de tes amis ou camarades.

Un Danna ? Qu'était-ce ? Plus tard, Sayhuri avait apprit qu'un Danna est en faite une sorte d'époux qui rembourse toutes les detttes qu'a accumulé une Geisha depuis son entrée à l'Okya. Il lui paye des kimonos et de nouveaux bijoux. Un Danna paye une Geisha pour passer du temps avec elle. Etait-ce une bonne chose pour une Geisha de céder son coeur à un homme ? Et si cet homme qui lui proposait d'être son Danna était vile et cruel ? Est-ce que ce serait à Okâsan de choisir ? Son avenir passait devant ses yeux tel une chenille géante qu'elle ne pouvait arrêter. Le pire, c'est que la jeune femme ne sait pas si elle devrait écouter les paroles de Okâsan ou pas.

Perdue dans ses pensées, la Kyoshi ne remarquait même plus les hommes ainsi que certaines femmes qui passaient devant elle en la regardant. Leur faisait-elle peur ? C'était possible mais elle leur coupait peut être le souffle peut être ! Car il parait qu'une vrai Geisha arrive à détourner un homme de son chemin par un simple regard, facinant ! Être une Geisha faisait rêvait Sayhuri ! Pouvoir vivre au jour le jour ! Chercher à se montrer la plus belle devant les yeux de tous pour devenir populaire l'emballait vraiment énormément. Soudain, quelqu'un parvint a aider à Sayhuri de reprendre ses esprit. Se fut un jeune samouraï, assez mignon pour tout dire.

Au Japon d'avant, les hommes n'étaient pas du tout comme ça. La japonaise trouvait ça une peu 'sexy' de voir un homme en kimono. En plus celui là semblait être complètement calme. Méditait-il ? Sayhuri désirait ardemment, au fond d'elle, faire sa connaissance. Depuis que la Maiko était devenue se qu'elle était, elle n'avait eut aucun contact avec des samouraï aussi jeunes, quel qu'il soit ! Sayhuri désirait entendre des histoires de combats, de guerres ! Bien sûr, tout le monde sait qu'une Geisha ne doit pas aimer ! Ni une Maiko d'ailleurs. Doucement, la jeune femme se leva de son banc, son éventaille à la main. Sayhuri marcha en direction du jeune samouraï méditant et profitant de cette paix. Elle s'assise à coté de lui en restant tout de même à une distance respectable. Un fin sourire s'afficha sur son doux visage. D'une voix envoutante, elle lui demanda.

[Sayhuri]-Dites moi. Que fait un jeune homme seule dans un endrois pareilles ? Vous risquez d'être la proix de certaines Geishas ou pire. Si j'étais vous, je ne viendrais pas ici pour méditer car vous vous ferait emporter par le charme de celles-ci.

Tout en disant 'celles-ci', Sayhuri désigna d'un signe de tête un petit groupe de femme ressemblant plutôt à des prositués qui les fixaient étrangement. La Maiko parut légèrement génée, elle aurait dû être un peu plus discrète en lui parlant mais bon, le pire était fait, elle avait au moin enguagé la conversation.

Hataru était en train de méditer, mais il n'y arrivait pas, la vision de la jeune femme assise à quelques mètres de lui le tourmentait, il la trouvait tellement jolie.
Soudain, il sentit, parmi ses yeux fermé, qu'elle le fixait, elle se leva et s'aprocha de lui. Il faisait désormais semblant de méditer, toutes ses pensées s'étaient tournée vers la jeune femme. Elle vint s'assoeir à quelques pas de lui et le fixa, elle lui dit après quelques secondes:

[Sayhuri]-Dites moi. Que fait un jeune homme seule dans un endrois pareilles ? Vous risquez d'être la proix de certaines Geishas ou pire. Si j'étais vous, je ne viendrais pas ici pour méditer car vous vous ferait emporter par le charme de celles-ci.

Hataru ouvrit ses yeux en un coup, il ne pensait pas qu'elle allait lui parler, il tourna sa tête vers elle tout en gardant son corp le plus allignée possible.

[Hataru]-Dois-je suposer que vous n'en n'ètes pas une? N'ètes-vous pas une femme comme elles (il désigna d'un signe de tête le groupe de jeunes femmes au loin qui était en train de les regarder)? Qui ètes-vous? Et que faites vous par ici?

Hataru ne voulait être méchant mais son métier l'obligeait à prendre quelques précautions, surtout avec l'annonce qu'il avait recu concernant un groupe d'assassin qui allait surement attaquer des personnes, ici à Tokyo. Il devait donc se méfier de tout le monde, surtout des jeunes femmes attirantes qui pourrait essayer de distraire les samourais et les gardiens le temps que les assassins opèrent. Mais il se demandait comme même si cette femme était neutre ou bien méchante.Il préférait attendre sa réponse pour commencer à sa faire un jugement sur elle, avec de la chance elle n'était qu'une jolie femme qui voudrait juste parler avec un samourai et connaître des histoires macabres.

Calme, silence, sérénitée, voici les trois mots pour être en parfaite armonie intérieur. Ces choses étaient très métrisées dans le temps, enfin maintenant on peut dire en ce temps là. Les samouraïs sont extrèmenent attachés aux traditions donc passe leur temps libre à méditer mais certains passe leur temps dans les maisons de thé ou autre encore pour se faire plaisir. Lorsqu'elle l'avait aperçut de loin, Sayhuri ne put s'empêcher de repenser sans arrêter aux paroles de Okâsan ainsi que celles d'autres amis Maikos qui étaient, on peut dire ça comme cela, des amis. Ce jeune samouraï n'avait l'air ni perdu, ni faible donc il ne fallait mieu pas le dérenger très longtemps.

Lorsque ses yeux s'ouvrirent, la Maiko arriva à voir l'âme du guerrier, comment cela se faisait-il ? Est-ce possible de voir le passé d'un homme rien quand plongeant son regard dans le sien ? Plus rien n'étonnait Sayhuri depuis son arrivée dans ce monde. Le samouraï avait brusquement ouvert ses yeux se qui fit sursauter légèrement la futur Geisha. Celui-ci ne semblait pas étonné par la présence de la Maiko, au contraire. Il avait sentit sa présence et remarqué qu'elle ne pouvait s'empêcher de l'observer. Son dos était parfaitement aligné, même lorsqu'il avait tourné sa tête vers elle, imprésionnant. De sa voix neutre et méfiante, il lui demanda.

[Hataru]-Dois-je suposer que vous n'en n'ètes pas une? N'ètes-vous pas une femme comme elles (il désigna d'un signe de tête le groupe de jeunes femmes au loin qui était en train de les regarder)? Qui ètes-vous? Et que faites vous par ici?

Oh ! Il avait donc remarqué d'après sa tenue son rang. Il n'avait pas tout à fait tord d'une certaine manière. Elle en faisait partie mais n'était pas comme elles. Certe il était méfiant, mais au fond de lui, une lueur se faisait aperçevoir comme quoi il n'avait pas peur d'elle. La japonaise sentait le vent doux du matin glisser sur sa peau peinte de blanc. Elle mordilla sa lèvre inférieur déjà rouge car elle était recouverte d'une couche de rouge passion. D'un geste souple et rapide, la Maiko sortit son éventaille et cacha son visage derrière, laissant juste ses yeux bleu perçant couleur pluie dépasser. Sayhuri lui répondit de sa voix douce et mystérieuse.

[Sayhuri]-Eh bien, j'en fais partie. Enfin vous pouvez voir que je n'en suis pas encore une donc n'ayez pas peur de moi. Je ne suis encore qu'une Maiko. Qui je suis ? Ce n'est pas important et se que je fais ici, la réponse sera logique et facile à trouver. Ce lieu est l'endrois le plus calme et apaisant que je connaise, c'est toujours agréable de venir ici avant que la longue journée ne s'achève.

La jeune femme affichait un large sourire derrière son éventaille aux couleurs vives. Sayhuri ne voulait pas faire peur à ce samouraï en exibant sa beauté comme l'aurait fait une Geisha ou Maiko normale. Il valait mieu pour elle de ne pas tomber amoureuse et qu'on ne tombe pas amoureuse d'elle. Après tout, une Geisha ne doit pas être aimer, sa vie n'est construite que sur les piliers de l'art et du divertissement, ce n'est pas une vie d'amour. La japonaise se releva, se plaça devant lui et s'inclina légèrement en avant comme pour le saluer.

[Sayhuri]-Excusez moi pour le dérengement chez Monsieur. Je vous souhaite de passer une bonne journée ainsi que de trouver votre paix intérieur. Au revoir...

La Maiko lui adressa un dernier et discret clin d'oeil pour ensuite se mettre à marcher, seule dans le parc. Elle avait ranger son éventaille dans son obi et se balladait maintenant ses mains posées sur son ombrelle de papier bleuté qui évoqué la mer. Ah ! Que c'était agréable de sentit ce vent ainsi que cette odeur de printemps qui nous picotte les narines. Sayhuri aimait marcher dans son monde et ça ne changea pas dans le nouveau. Cette rencontre était très étrange, soit ! Mais ce samouraï allait-il vouloir lui reparler ? Peut être l'avait-elle envouter ? Si c'était le cas, ce serait étrange...

Hataru s’était tourné vers la jeune Maiko, il la fixa et répondit à sa question par d’autres. La jeune femme prit son éventail et se cacha derrière, seul ses yeux dépassait encore de cet éventail. Leur regards se croisèrent, elle avait des yeux magnifiques, des yeux aussi pure que l’océan, jamais Hataru n’avait vu des yeux aussi clair et beau. Le moment aurai été parfait pour se détendre en agréable compagnie, sous ce ciel magnifique où les feuilles dansent au rythme du vent, avec ce soleil ni trop chaud, ni trop froid, avec les oiseaux volant autour des arbres, tout paraissait paradisiaque en ce lieu, mais seul la mission comptait aux yeux d’Hataru, si les assassins ennemis attaquait, il devait être là pour protéger les citoyens. La jeune Maiko le regarda après sa réponse, elle le fixa non méchamment mais on sentait qu’elle n’avait entendue la réponse souhaitée. Lorsque son éventail se plaça bien devant son visage, elle lui dit :

[Sayhuri]-Eh bien, j'en fais partie. Enfin vous pouvez voir que je n'en suis pas encore une donc n'ayez pas peur de moi. Je ne suis encore qu'une Maiko. Qui je suis ? Ce n'est pas important et se que je fais ici, la réponse sera logique et facile à trouver. Ce lieu est l’endroit le plus calme et apaisant que je connaisse, c'est toujours agréable de venir ici avant que la longue journée ne s'achève.

Hataru réfléchit et compris que sa question était assez stupide, qui aurai voulu s’habiller comme ça en un temps pareil. Il n’y avait pas de doute, c’était une Maiko. Hataru avait beaucoup entendu parler d’elles, elles s’habillaient comme les Geishas en kimono et avait le visage peint en blanc grâce à de la substance contenant de la poudre de riz. A l’école d’apprentissage, on lui en avait beaucoup parlé, elles servaient du thé et divertissaient de plusieurs manières les hommes. Leur travaille était payé, bien évidemment. La Maiko se releva et salua Hataru en s’inclinant légèrement.

[Sayhuri]- Excusez-moi pour le dérangement chez Monsieur. Je vous souhaite de passer une bonne journée ainsi que de trouver votre paix intérieur. Au revoir...

Puis elle fit demi-tour et s’en alla. Hataru ne réagit pas immédiatement, il avait entendu qu’elle parlait de paix intérieure, ce qui le fit sourire. Tout le monde pensait que les samouraïs méditaient pour une paix ou quelques choses du genre, en faite, les samouraïs méditent pour être en harmonie avec leur corps et pour pouvoir mieux le contrôler lors des batailles, l’entrainement premier des samouraïs est la force et la rapidité, les gestes doivent être totalement prévus et maîtrisés, sinon ils pourraient se faire mal ou même se tuer tout seul en voulant faire un roulade vers leur ennemis tout en ayant leur Tachi ou leur katana en mains. Certaines prouesses demandent des années d’entraînements avant d’être parfaitement maîtrisée.
Hataru se releva, prit ses deux sabres, qu’il avait déposés quelques minutes plus tôt sur le banc (Tachi et Wakizashi) et courut vers la jeune femme sous le regard ébailli des autres Maikos et Geishas. Il l’a rattrapa sans trop de mal et se plaça devant elle.

[Hataru] - Désolé si je vous ai choqué, mais en ce moment je suis très tendu, j’ai appris de grandes nouvelles qui risque de changer beaucoup de personnes, ici à Tokyo. Il faut que moi et mes semblables soyons prêts à nous battre. Je ne peux rien dire de plus, personne ne peut me certifier que vous n’êtes pas une espionne qui est en mission. Désolé, j’espère me tromper, mais mieux vaut rester prudent.

Hataru accrocha ses deux sabres à sa ceinture pour ne pas paraître impoli et agressif.

Les samouraïs, de braves hommes ! Certains passaient leur temps à s'entraîner et d'autre à croquer la vie à pleine dent ! La jeune Maiko espionnait souvent les conversations de Okâsan avec certains clients. Bien que ce ne soit pas bien, jamais Sayhuri ne s'était fait prendre, heureusement d'ailleurs. C'était amusant d'entendre certaines Geishas se pleindre de la propriétaire de la maison de thé, Okâsan, qui était souvent en colère contre elles car elles se moquaient souvent de la belle couleur océan infini des yeux de la jeune femme. D'après Okâsan, elles étaient jalouse mais il ne fallait pas pour autant leur en vouloir vu que la vie d'une Geisha peut être très courte comme elle peut être très longue. La vieille femme lui promi qu'un jour, elle deviendrait quelqu'un de connue, peut être la plus belle Geisha de tout Tokyo, pourquoi pas ?

Marchand lentement, le vent frôlant son visage lisse et son regard bleu pluie sillonnant les alentours. Son kimono de soie flottait, la jeune japonaise s'amusait à fait tourner sa belle ombrelle de papier sur son épaule. La chaleur du soleil caressait sa peau comme une plume. C'était une journée des plus ordinaire depuis que Sayhuri était arrivée dans ce nouveau monde remplit de mystère encore irrésolut. Les anciens jouaient au Mahjong sous les vérendats de leur maison. Les femmes s'activaient au travail et les enfants couraient dehors derrière une balle et près du Sumida. Soudain, quelque chose ou plutôt quelqu'un stoppa sa marche. Le jeune samouraï l'avait rattraper pour ensuite lui dire tout en rangeant ses deux sabres.

[Hataru] - Désolé si je vous ai choqué, mais en ce moment je suis très tendu, j’ai appris de grandes nouvelles qui risque de changer beaucoup de personnes, ici à Tokyo. Il faut que moi et mes semblables soyons prêts à nous battre. Je ne peux rien dire de plus, personne ne peut me certifier que vous n’êtes pas une espionne qui est en mission. Désolé, j’espère me tromper, mais mieux vaut rester prudent.

La Maiko haussa les sourcils pour avoir un air étonné. Pourquoi l'avait-il suivit simplement pour lui expliquer ça ? D'habitude les personnes normales ne faisaient pas ça mais bon, c'était polie et gentil de sa part. Sayhuri plongea ses yeux couleur pluie dans ceux du jeune samouraï qui laissaient sentir la soif du combat. Elle lui dit d'une voix claire comme l'eau.

[Sayhuri]-Cher Samouraï, je ne souhaite pas induire vos intuitions en erreur donc je ne dirais rien contre vos pensées. Sachez que je ne suis surment pas celle qu'on croirait que je suis. Si vous saviez mon histoire vous me prendez, et cela ne fait aucun doute, pour une folle. Si vous désirez plus en savoir sur moi, venez dans la maison de thé où je suis et vous me rencontrerez surment. Sinon...Que désirez-vous ?"

La japonaise posa son regard claire sur les arbres en fleurs qui se trouvaient non loin d'eux. Sayhuri adorait ses arbres nommés 'Sakura', ils étaient ses préférés car elle aimait la couleur rose pure de ses fleurs. La jeune femme ferma son éventaille pour se tenir dans sa main droite. D'un geste gracieux, elle enroula une mèche de ses cheveux noirs qui osait sortir de sa coiffure quelle rangea bien avec les autres dans la coiffure. Ses lèvres s'entrouvrirent et ses yeux montèrent au ciel pour admirer ce beau ciel bleu qu'on ne pouvait voir dans son ancien monde, c'était magnifique, autant que ses arbres nommé 'Sakura'.

Hataru venait de rattraper la jeune Maiko et s'excusa de son impolitesse, sa méditation état très importante en ce moment où la ville se trouvait en grand danger. Il est vrai qu'il ne voulait pas parraitre grossier avec elle, mais il ne devait pas perturber par elle pendant sa méditation. Il la regarda droit dans les yeux en prononcant ces mots. Elle parut troubler par sa façon de s'être précipiter pour lui dire juste ca. Elle le regarda d'un aur asser bizarre puis lui répondit:


[Sayhuri]-Cher Samouraï, je ne souhaite pas induire vos intuitions en erreur donc je ne dirais rien contre vos pensées. Sachez que je ne suis surment pas celle qu'on croirait que je suis. Si vous saviez mon histoire vous me prendez, et cela ne fait aucun doute, pour une folle. Si vous désirez plus en savoir sur moi, venez dans la maison de thé où je suis et vous me rencontrerez surment. Sinon...Que désirez-vous ?"

Il était vrai qu'il ne connaissait rien d'elle mais il fallait dire que c'était elle qui était venu lui parler, il voulait juste s'excuser de son impolitesse en ne lui parlant pas beaucoup et surtout de la dureté de ses paroles, elle ne ressemblait en rien au vieille femme qui continuait à les fixer au loin. Elle était beaucoup plus jolie. La dernière phrase qu'elle lui adressa le perturba, il ne désirait que s'excuser. Il sentait qu'elle ne voulait peut-être pas lui parler d'avantage tout simplement.
Elle regarda les arbres au loin, il se tourna et vit qu'elle regardait des arbres nommée "Sakura".

[Hataru]-Ce sont des Sakura, je ne désire que m'excuser de mon impolitesse que je vous ai dites sur le banc, il n'y a pas de sous pensée je vous rassure. Je suis samouraï comme vous le voyez à mes armes et donc je ne peux pas avoir d'épouse, si cela vous rassure.

Hataru esquissa un sourire à la futur Geisha, qui continuait de regarder les arbres.

Ce jeune samourai n'avait l'air de manquer de rien. Il déguagait une délicieuse odeur épicée et elle avait crue remarquer que ses cheveux sentaient la menthe. Il avait un beau visage virile et ses muscles resortaient bien sous son élégant kimono bleu. Ce jeune homme ne semblait pas très tendre mais il devait surment sauver beaucoup de personnes et être fidèle à son Maître. Ce samouraï a une bonne tête, se dit Sayhuri. Il n'avait pas une allure de bourré. Certains samouraïs qui ne savaient pas quoi faire de leur temps libre venaient dans la maison de thé où vivait et travaillait Sayhuri pour se 'bourrer la gueule' et tripoter les Geishas, heureusement que Sayhuri n'était encore qu'une Maiko. Il avait l'air 'pure', sérrieux et amicale mais jamais une Geisha ne devait se lier avec quelconque homme, seulement ses semblables.

La dernière fois que la japonaise avait rencontré un samouraï, elle avait faillit le découper en morceau car il avait manqué de lui arracher son kimono mais vu qu'elle portait sous sa tunique un couteau aussi grand que son avant bras et grâce à ses anciens cours d'escrime, elle aurait pû lui trancher la tête en un rien de temps mais Okâsan se trouvait là et l'en avait heureusement dissuadé. Ce nouveau monde était bien étrange, là bas, si on n'arrive pas à se contenir, on peut mourir à n'importe quel moment surtout qu'à cette époque, les femmes n'étaient que dans la sous catégorie des personnes, elles faisaient des enfants, la cuisine, le ménage mais étaient rarement plus. La japonaise avait toujours rêvé avoir un Danna mais prendrait-il soin d'elle ? Sayhuri espérait vraiment avoir un Danna qui la bichonnerait, qui lui offrirait une maison et une belle vie. Etait-ce une belle vie que de divertir par ses talents les hommes jusqu'à la fin de sa vie ? Non, c'était un travail, pas une vie.

Le jeune samouraï la regardait fixement. Admirait-il ses belles pupilles qui l'avaient tellement fait souffrir ? Son physique si différent des femmes de cette époque ? Son corps svelte et sa grande taille pour une japonaise ? Que regardait-il comme ça, se questionna la japonaise. Le regard du jeune homme se posa là où celui de Sayhuri c'était auparavant posé, sur les arbres, il lui dit ensuite d'une voix si douce qu'on pourrait la confondre avec du coton caressant notre peau.

[Hataru]-Ce sont des Sakura, je ne désire que m'excuser de mon impolitesse que je vous ai dites sur le banc, il n'y a pas de sous pensée je vous rassure. Je suis samouraï comme vous le voyez à mes armes et donc je ne peux pas avoir d'épouse, si cela vous rassure.

Sayhuri posa à nouveau son regard sur lui, ne disant rien. Ils ne pouvaient avoir de femme ? A bon ? Pourtant la jeune Maiko en avait vu se pavaner avec des femmes qui avaient l'air peut être enceinte ? Etait-ce leur femme ou leur maitresse ? La Maiko se le demandait puis elle lui répondit avec une voix tout aussi douce que celle du samouraï.

[Sayhuri]-Eh bien. Je sais bien que vous ne voulez et ne pouvez avoir d'épouse. Je peux ajouter que moi même, je ne puis être qu'une demis épouse. Si je deviens une Geisha, je pourrais dire que je suis une femme du crépuscule dans un monde aussi flou et mystérieux que les nuages qui se balladent au dessus de nos tête. Espérons que votre vie sera gâté car la mienne ne changera pas. Lorsque nos chemins se sépareront, nous nous retrouverons surment dans un endrois que je fréquente la plus part de mon temps, la maison de thé. J'espère que si je vous y vois, vous ne serez pas sâoul.

Un fin sourire s'afficha sur son visage de jeune femme. Sayhuri sortit de son petit sac une boule de sucre parfumé à la vanille et la tandis au samouraï en affichant une expression presque amicale mais réconfortante. En lui mumurant presque, elle lui dit.

[Sayhuri]-Tenez, c'est délicieux. Je ne sais pas si vous avez déjà goûté mais moi je trouve ça très bon. N'ayez pas peur ce n'est pas du poison. Si vous étouffez en le mangeant, je prendrais soin de vous faire du bouche à bouche...

La Maiko rigola en posant une main sur sa bouche.

Hataru regardait l’arbre que la jeune Maiko admirait, il lui dit son nom et lui expliqua les intentions qui l’avait poussé à la rattraper. Elle le regarda, on voyait bien qu’elle se posait des questions. Elle reprit un air normal puis lui demanda :

[Sayhuri]-Eh bien. Je sais bien que vous ne voulez et ne pouvez avoir d'épouse. Je peux ajouter que moi même, je ne puis être qu'une demis épouse. Si je deviens une Geisha, je pourrais dire que je suis une femme du crépuscule dans un monde aussi flou et mystérieux que les nuages qui se baladent au dessus de nos têtes. Espérons que votre vie sera gâtée car la mienne ne changera pas. Lorsque nos chemins se sépareront, nous nous retrouverons surement dans un endroit que je fréquente la plus part de mon temps, la maison de thé. J'espère que si je vous y vois, vous ne serez pas saoul.

Elle lui sourit gentiment, le samouraï savait maintenant la profession de cette femme, même si son maquillage en disait beaucoup. Elle sortit une boule parfumée de son petit sac et tendit cette boule à Hataru, voyant qu’il hésitait un peu elle lui dit :

[Sayhuri]-Tenez, c'est délicieux. Je ne sais pas si vous avez déjà goûté mais moi je trouve ça très bon. N'ayez pas peur ce n'est pas du poison. Si vous étouffez en le mangeant, je prendrais soin de vous faire du bouche à bouche...

Puis elle rigola en posant une main sur sa bouche. Hataru n’avait pas cru bien entendre. Il ne pensa rien de vicieux, même si l’envie lui prenait. Il la regarda et prit la petite boule parfumée, il la plaça sous son nez et respira l’odeur. Il est vrai que la boule sentait très bon, elle avait une odeur de vanille.

[Hataru]-Merci, ça sent très bon. Désolé je n’ai rien pour vous, les samouraïs ne doivent pas avoir d’objets personnel et ne doivent pas s’attacher aux personnes car ils ne doivent pas perturber l’entraînement et les rituels des samouraïs. Mais je peux prendre du temps pour parler avec vous, je comptais me reposer ici, ce sera ça mon repos.

Hataru lui sourit amicalement tout en respirant encore le goût de la boule de vanille.

[Hataru]-Merci, ça sent très bon. Désolé je n’ai rien pour vous, les samouraïs ne doivent pas avoir d’objets personnel et ne doivent pas s’attacher aux personnes car ils ne doivent pas perturber l’entraînement et les rituels des samouraïs. Mais je peux prendre du temps pour parler avec vous, je comptais me reposer ici, ce sera ça mon repos.

La Maiko eut un petit rire. Le jeune samouraï avait l'air moin méfiant qu'auparavant, il acceptait même son bonbon mais ne le mangeait pas encore. Elle ne désirait rien d'autre qu'un ami à qui parler mais une Geisha pouvait-elle avoir un ami ? Non. Depuis son arrivée dans ce monde, Sayhuri n'avait pas pu parler avec une seule de ses connaissances qui étaient tous quelque part dans la grande ville de Tokyo. La japonaise ne parlait que rarement, là c'était un exploit qu'elle parle avec quelqu'un. Soudain, elle regarda autour d'eux. Les autres Geishas et Maiko étaient partit, d'ailleur il n'y avait pas grand monde dans le parc, pas de monde du tout.

Sayhuri eut une mauvaise intuition l'envahi soudain. Depuis qu'elle est là, la Kyoshi n'avait jamais vu le parc vide. Il devait se passer quelque chose. Okâsan avait prévenu Sayhuri un jour que des soldats pouvaient arriver car apparament toute personne n'appartenant pas à la ville, qui n'a pas prévenus l'empereur de sa visite, un étrangé, doit être arrété. Etaient-ils déjà là ? Impossible. La japonaise sortit son éventail et le plaça à quelques centimètres de sa bouche pulpeuse, ses yeux bleu perçant dépassaient de l'éventail, regardant aux allentours.

[Sayhuri]-Excusez moi...Mais suivez moi, sans faire de bruit. Faites moi confiance...Nous sommes...Enfin je suis...Suivez moi, je vous raconterais ça après.

La Maiko prit de force le poignet du samouraï, son éventail toujours sur son visage aux traits légèrements tirés par la frayeur. Ils devaient immédiatement se cacher, s'ils trouvaient la jeune Maiko en compagnie du samourai, il se ferait interroger et elle dénnoncée. Sayhuri et le samouraï se dirigèrent vers l'endrois où était conscentré le plus d'arbres, un endrois où personne ne venait car on y voyait pas grand chose. La lumière du soleil avait du mal à passer entre les branches des arbres. Sayhuri poussa le samouraï contre un grand arbre, il faisait sombre donc elle avait du mal à le voir mais son bleu claire de sa tenue ressortait bien.

La future Geisha tendit un instant l'oreille pour écouter les moindres bruits. Des bruits de pas se firent entendre au loin, des soldats apparament. Sayhuri s'accroupie en face du jeune samouraï interloqué. Elle se colla à lui contre l'arbre, posant sa tête contre son torse et espérant qu'il ne fasse aucun geste brusque qui puisse éveiller les soupçons des gardes non loin. La japonaise leva ses yeux bleux océans vers ceux du samouraï. Il semblait étonné de la sentir si près de lui, peut être se demandait-il pourquoi elle faisait ça ? Sayhuri passa sa main sur les lèvres du jeune homme en lui faisant signe de ne rien dire. Sa main qui resta quelques secondes sur les lèvres du samouraï glissèrent ensuite le long de son torse pour se poser sur le sol herbeux.

*Faites qu'ils ne nous entendent pas*

Hataru sentit encore une fois la boule au magnifique goût de vanille en donnant un compliment à la jeune Maiko. Elle sourit, rigola même, mais son sourire s’effaça très vite, Hataru se demanda pourquoi, il vit qu’elle regardait autour d’eux, Hataru l’imita et remarqua qu’il n’y avait plus personnes dans les environs. On aurai dit une vision apocalyptique, plus personne n’était en vue, Hataru commença à paniquer, il pensait que les assassins dont parlait ses renseignement étaient là et qu’ils venaient d’enlever tout le monde sous leur yeux, il savait très bien la puissance et la rapidité que les ninjas ont dans les autres pays. Il faut dire que leur formation est essentiellement basé sur ces deux qualité, sans compter sur la maîtriser des armes, la résistance à toute sorte de produit droguant et autres substances permettant de faire parler un prisonnier, et d’autres capacités qui rendent un ninja très habile et très dangereux car contrairement aux samouraïs les ninjas sont recruté dès leur naissance et ils sont directement impliquer dans le monde morbide et sanguinaire tandis que les samouraïs sont volontaires pour servirent leur pays ont leur empereur. Mais Hataru ne voyait aucun éventail à terre et il voyait de plus en plus clairement ce qu’il s’était passé, les gens avait fuit discrètement un ennemi encore invisible, les pas qui se traçait au sol indiquait que tout le monde était rentre dans la maison de thé. Ils ne devaient pas vouloir voir la chose ou la personne qui allait venir. Soudain il se rappela une loi qui disait que les étrangers devaient se présentés pour se faire connaître au sein de la population, serait-il possible que la police aie réussie à retrouver sa trace ? Il ne le pensait pas, il savait se faire invisible si le besoin le devait et il savait effacer ses traces après une mission. Mais il ne voulait pas prendre de risque et il voulu prendre la futur Geisha par le bras mais c’est elle qui lui prit le sien en premier :

[Sayhuri]- Excusez-moi...Mais suivez-moi, sans faire de bruit. Faites moi confiance...Nous sommes...Enfin je suis...Suivez moi, je vous raconterais ça après.

Pendant qu’il réfléchissait sur la manière de disparaître sans effrayer la jeune femme, Hataru ne remarqua pas que cette dernière était aussi affolée que lui, sauf qu’elle le montrait clairement tandis que lui avait appris à dissimuler tous sentiments. Elle avait mit son éventail sous son visage pour le cacher et s’en alla en tenant fermement le bras du samouraï. Il commença à se demander si la police ne serai pas là pour elle et non pas pour lui. L’idée était très probable vu la façon dont elle réagissait, mais mieux ne valait pas poser de questions maintenant, ils devaient tout deux s’entraider pour ne pas se faire voir.
Elle emmena Hataru vers un endroit où les arbres sont tellement serrés que le soleil à du mal à percer les feuillages. Elle le colla contre un arbre et mit un doigt sur la bouche d’Hataru pour lui indiquer qu’il ne devait pas faire de bruit, il ne contait pas en faire bien entendu mais ses soupçons commencèrent à se confirmer, à moins qu’elle aurai comprise qu’ils étaient venu pour lui et elle voulait le protéger. Hataru ne savait plus quoi penser et décida d’analyser la situation et le nombre d’opposant pour un possible attaque au cas où ils seraient remarqué, la clé des victoires pour les samouraïs et la façon d’analyser une scène de combat avant qu’il ne se produise, savoir exactement le nombre d’ennemis et leur armement pour être sur de ne pas tomber dans une embuscade.
Il voulu pencher sa tête pour voir derrière l’arbre mais le doigt de la jeune femme ne servait pas qu’a imposer un silence, il était également là pour dissuader Hataru d’attaquer la police. Il est vrai qu’après réflexion, il ne serai pas judicieux d’attaquer la police de Tokyo. La peur se lisait clairement sur le visage de la jeune femme. Elle fit glisser son doigt qui se trouvait sur les lèvres du samouraï jusqu’au sol herbeux en passant par le torse, musclé, du samouraï.
Hataru commença à se demander combien de temps la police resterait là à attendre quelques choses ou quelqu’un. Plus il réfléchissait à la situation et plus il en venait à une conclusion ; ils recherchaient une des deux personnes qui se cachaient dans ses arbres, ses deux jeune gens innocent, juste coupable d’être atterrit dans ce monde où tout leur est étranger, coupable d’avoir prit le bus un matin pour aller à l’école, coupable de vivre dans ce monde qui ne veut pas d’eux. Si la police les trouvaient là, tout de suite, ils pourraient croire qu’ils verraient un jeune couple en train de s’embrasser sans la vue d’yeux indiscrète tellement ils étaient collé l’un à l’autre.
Hataru sentit Sayu trembler légèrement, il l’entoura de ses bras pour la rassurer et commença à faire des allé-venue de ses mains entre le bas de dos et le coup de la jeune Maiko afin de la rassurer du mieux qu’il le pouvait.

[Hataru]-Ne t’inquiète pas, je ne sais pas pourquoi tu as peur d’eux mais ils ne nous trouverons pas, si ils nous trouvent ici …

Hataru montra ses deux épées du regard. Seul son regard signifia l’importance du danger que couraient ces deux jeunes adultes. Les soldats étaient toujours là, justes devant le petit bosquet où se trouvaient Hataru et Sayu.


[Je pourrais faire plus long mais je me suis dit que tu avais assez à lire, j’aurai pu faire en sorte qu’un soldat se soulage dans le bois et que je doive le tuer ou un truc du genre, mon inspiration est décupler la nuit, tout les vendredis je fais un nuit blanche où je post sur mes fofos car je suis en retard parfois et j’en profite pour me rattraper et j’ai tout le temps de faire des longs posts comme maintenant. Je dois juste me déco entre 23 heures et 1 heure du matin pour faire croire à mes parents que je dors.

Slt à demain soir.]

Ce silence était pesant. Sayhuri pouvait sentir le souffle chaud du samouraï dans sa nuque. Ses cheveux tiraient en arrièrent laissait le vent passer dans l'ouverture du coule de son kimono. La Kyoshi commençait à croire que les policiers étaient venus pour le samouraï et non pour elle car elle n'avait fait part à son passé à personne d'autre que Okâsan qui elle savait se rendre discrète, elle ne la dénoncerait pas à l'Empereur même pour de l'argent. De petites gouttes de sueurs glissaient le long de la nuque, un des seul endrois non maquillé. Son beau kimono bleu était si claire qu'au moindre rayon de soleil qui osait s'aventurait sur leurs silhouettes, Sayhuri remarquait qu'il prenait une couleur argenté très agréable mais assez voyante dans la pénombre. La chaleur du corps de samouraï apaisait la petite Maiko qui ne voulait pas être arrêtée ou encore pire, découverte et prise pour une folle. Sa petite vie d'apprentit Geisha avait pour l'instant était calme. Sayhuri étudiait la danse, le chant et l'art de la discution chaques jours, elle ne voulait pas que ses dons ne parte si elle se fait emprisonner. Si elle a de la chance, la jeune femme pourrait être enguagée au Palais Impérial comme Geisha ou comme hotesse pour les fêtes et réunions importantes. Mais pour cela, la Maiko ne devait pas être emprisonnée et devait devenir une vrai Geisha.

Sayhuri se sentait presque collée au jeune homme. Pourquoi faisait-elle ça alors qu'elle savait que ça pouvait être mal vu ? La japonaise s'écarta légèrement du jeune samouraï tout en le regardant. Il n'avait pas l'air effrayé par l'arrivée de la police, l'avait-il perçut ? Au moin, il n'avait pas profité de ce moment dans l'ombre des arbres pour la tuer, ou pire. Une Geisha déshonnorée doit s'avoir se libérer de ce monde, sinon elle n'est rien. Dans ce petit monde de femme, chaque fleur doit pousser à sa vitesse, si une personne la cueille sans la permission du soleil, cette fleur doit faire le sacrifice necessaire. D'ailleurs, la future Geisha emportait partout où elle allait, un petit couteau de taille moyenne attaché au niveau de sa cuisse par une lanière en cuir brun claire. Bien sûr, Sayhuri ne devait pas s'en servir pour tuer car qui sait se que sa vie deviendra dans ce monde ? Elle avait eu de la chance pour l'instant donc elle devait continuer sur cette voix.

Des bruits de pas, l'eau de la fontaine qui coule en abondance, des rires lointains d'enfants courant après un chat miteux et deux coeurs battant à l'unisson, attendant que le temps passe et que le danger parte. On pouvait encore sentir l'odeur de la vanille de la boule que Sayhuri avait donné au samouraï, son peut être, futur protecteur. Sayhuri, elle, sentait le jasmin et d'autres parfums rafinés. La jeune femme rangea son bel éventail aux couleurs du ciel dans son obi et eut la soudaine impression que quelqu'un les regardait. Qui était-ce ? Etait-ce une intuition ? La Maiko réfléchit à un plan pour partir sans être vu quand soudain, deux policiers vêtus de kimono gris blanc apparurent derrière eux ainsi que trois ninjas complètement méconnaissable à cause de leur kimono noir et de leur capuche qui leur couvrait la majeur partie du visage. Les policiers restèrent un peu à l'écart, quant aux trois ninjas, ils avancèrent vers eux.

L'un d'eux se pencha sur la jeune Maiko, le regardant silencieusement comme s'il attendait quelque chose. Les deux autres se mirent à coté du samouraï mais les deux policiers n'étaient plus là, surment partit avertir les autres. Sayhuri posa son regard bleu pervanche sur le visage encapuchonné du ninja qui avait son visage dangereusement près du sien. Celui-ci fit un légé mouvement lorsqu'il vit ses beaux yeux bleus, peut être n'avait-il jamais vu d'yeux bleus ? C'est possible car c'est rare de nos jours de voir des japonais avec les yeux bleus. Il se tourna vers ses camarades pour ensuite aquiesser d'un signe de tête, que se passait-il ? Un des homme vêtue complètement en noir s'accroupie devant Sayhuri puis lui demanda d'une voix neutre, dénué du moindre sentiment.

[Le ninja]-Êtes-vous Kyoshi Sayhuri ? Maiko de la maison de thé du LookBack Flower ? Répondez nous...Et dites nous se que vous faites avec cet homme ?

La jeune japonaise haussa un sourcil mais ne répondit pas tout de suite car l'homme qui venait de l'interroger partit vers le samouraï, il lui demanda d'une voix calme, au même moment, les deux autres ninjas s'approchèrent de lui, lui imobilisant les bras pour qu'il ne puisse s'enfuir. La Maiko regarda les hommes d'un air étonné, étaient-ils des vrai ninjas ? Ou était-ce des Yakuza [Mafia japonaise] ? La jeune femme ne répondit pas et le ninja qui l'avait interrogé revint vers elle d'une démarche rapide, il sortit un tanto* de taille moyenne avec un manche en bois et le pointa en direction de la Maiko en lui disant avec une voix féroce.

[Le ninja]-Bon, DIS NOUS QUI TU ES ET D'OU TU VIENS ?

Spoiler:

Hataru et la jeune Maiko était planqué dans le bosquet en attendant que la police s'éloigne de leur position. Hataru jetta un bref coup d'oeil pour analyser le nombre d'adversaire et leur armement. Il se raidit en un coup lorsqu'il compris que ce n'était pas tous de simple policier, ce n'était pas la milice qui était présente mais une milice spécial, une milice qui ne se montrait que lorsqu'un espion était soupconné d'être en ville, et généralement on ne revoyait plus la personne soupconnée, qu'elle soit coupable ou innocente. Ces miliciens était appelé des ninjas. Tout le monde les craignaient en ville, ils ne montraient jamais leur vrai visage, ils était toujours habillé en noir ou un bleu foncé, et ils étaient très bien armée contre toutes sortes d'ennemis. Leur réputation de tuer est fondé depuis des années et personne ne veut avoir à faire avec l'un d'entre eux.

Hataru comprit qu'ils était là pour lui, ou pour lui et elle, mais il savait qu'ils venaient de retrouver sa trace, il est normal de croire que quelqu'un, qui apparait de nul part avec 14 autres personne dans un machine jaune qui n'est pas censé exister dans ce monde, peut être accusé d'espionnage et de menace contre le pays, ce qui lui vaudrait la peine capital, c'est à dire la mort par torture. Si il était prit, il serai torturer pendant des semaines voir des mois étant donnée qu'il a reçu un entrainement spécial pour résister à la douleur. Mais il ne se laisserait pas faire, il tuerait toutes les personnes essayant de le capturer, lui et cette jeune femme qui se colle à lui, tremblante de peur mais qui ne le montre pas. Hataru venait de comprendre la source de ses informations concernant d'éventuels assassins, ce n'était pas à lui de les chasser, c'était lui l'assassin. Il se jura qu'il se vengerai contre la personne qui lui avait transmise cette information, mais pour le moment il devait se concentrer sur les 3 ninjas qu'il venait d'apercevoir. Leur visage masqué ne leur servait qu'a parraitre plus dangereux qu'ils ne l'étaient et Hataru le savait très bien, mais ils sont comme même des ennemis redoutable, surtout en groupe. Si un combat devait avoir lieu, il perdrait surement, mais son Bushido* serai respecter, il serai mort pour un acte qu'il jugerai bon et il serai mort pour protéger une innocente, il aurai accomplis son Bushido jusuqu'a la mort.

Tout à coup Hataru sentit une odeur, une odeur de vanille, il paniqua car les ninjas sont entrainé pour sentir les odeurs et les détecter avec précision. Ses craintes se révelerent juste quelques instants plus tard lorsque 2 policiers et les 3 ninjas apparurent près du samouraï et de la Maiko. Les 2 policiers s'eclipserent rapidement en laissant les 3 ninjas s'occuper des prisonniers. 2 des ninjas immobilisèrent instantanément Hataru tandit que le plus fort, sans doute le chef, questionna la jeune femme en la sermonnant pour lui faire peur et la faire avouer plus facilement.

[Le ninja]-Êtes-vous Kyoshi Sayhuri ? Maiko de la maison de thé du LookBack Flower ? Répondez nous...Et dites nous se que vous faites avec cet homme ?

Puis il se dirigea directement vers Hataru sans attendre qu'elle reponde et le fixa droit dans les yeux pour essayer de deviner qui il était, mais il ne vit rien car hataru savait cacher ses sentiments et le chef des ninjas retourna vers la futur Geisha et pointa un couteau vers elle, et cria cette fois-ci:

[Le ninja]-Bon, DIS NOUS QUI TU ES ET D'OU TU VIENS ?

Hataru ne pouvait plus se contenir, il ne voulait pas que la jeune femme souffre à cause de lui. Il comprit qu'il ne pourrait pas se dégager de l'étreinte faite pas les 2 ninjas, alors il décida de parler et de distraire leur attention pour que la jeune femme puisse s'enfuir si elle en avait la possibilité.

[Hataru]- He, toi, le type qui ne fait que crier, vient pas ici faut que je te parle, si tu as un problème à régler ce sera avec moi et pas avec elle, si tu t'en prend à elle, je te tue sans la moindre hésitation, tu comprendra très vite qui je suis si tu ne l'a pas encore comprit.

Hataru jetta des coups d'oeil furtif vers l'endroit où était déposé ses armes de combat. Il ne pourrait jamais les atteindre avant que les ninjas ne le cribes de coups de shuriken et kunai. Il devait réfléchir et vite car le chef se dirigeait vers lui fou de rage. Mais arrivé à son niveau, le chef lui décocha une droite en plein dans la tempe, ce qui le fit tourner la tête.

[Ninja]- Alors on fait moins le malin maintenant, hein?

[Hataru]-Tu cogne comme un femme, je suis sur que ma grand mère me ferai encore plus mal.

Hataru sourit et émit un faible rire, le sang commençait à couler de son oreille droite.


Je te laisse continuer car là je suis inspirer pour te faire un page entière du fofo rien qu'a moi ^^

Pourquoi ses hommes armés étaient-ils là ? Pourtant, la jeune Maiko faisait attention. Elle prenait garde à ne pas s'exprimer comme les jeunes de son temps à elle, à se tenir droite comme n'importe quelle femme mais sans regarder un homme dans les yeux. Okâsan lui avait raconté un jour que les hommes étaient comme des chiens, si on les regarde dans les yeux, ils se sentent agressés. Le temps se couvrait un peu mais le désir de la jeune femme de savoir la vérité était plus fort que tout. Etaient-ils venus pour elle ou pour le jeune samouraï qui l'accompagnait ? Cette rencontre pourrait la mener à la perte de son 'travail', de sa nouvelle vie. Pourtant, quelque chose l'attirait particulièrement. Le courage de ce jeune inconnu prèt à sacrifier sa vie pour celle de Sayhuri, le goût de l'aventure, de la libertée. Est-ce que ce jeune samouraï était un Ronnin ? C'était possible mais s'il s'enfuyait, ils le rattraperait sauf...Sauf si Sayhuri l'emmenait dans son univers pour le cacher tandis que la milice de l'Empereur le recherche. Que chercherait un homme dans une maison de Geisha ? Aucun ne pouvait entrer...

La Kyoshi sursauta lorsqu'il vit le jeune samouraï se faire frapper. C'était injuste et très bas. Les hommes lui maintenaient les bras, il ne pouvait pas se défendre. La japonaise sentit sa colère monter. Malheureusement elle ne pouvait rien faire. Bien qu'elle ai fait des arts marciaux dans son époque, elle doutait qu'elle puisse s'en sortir indemne. De petites larmes de colère et de peur glissèrent le long de sa joue, traçant un chemin sur son maquillage blanc. Ses yeux bleus perçant se posèrent sur le ninja qui venaiot de frapper le jeune homme. Celui-ci se tourna vers la Maiko en la regardant tellement étrangement qu'on aurait dit avec étonnement. Il avait l'air de vouloir la corriger car regarder un homme comme elle le faisait était signe d'effrontement, d'impolitesse, de disgrâce. Le ninja laissa tomber le samouraï pour se conscentrer sur la future Geisha. D'abord, il la regarda longuement, comme pour la noter puis ensuite il la prit tellement fort par le col de son kimono qu'elle crut il allait le lui déchirer. L'homme lui dit d'une voix féroce.

[Le Ninja]- Mais pour qui tu te prend toi ? Tu ne mérite pas ton titre espèce d'effrontée ! Je pourrais te tuer mais tu me fais tellement pitier que je ne le ferais pas. Tu as de la chance de ne faire que te promener avec cet homme sinon la lame de mon épée aurait juste glissée sur sa gorge et ton âme serait partie rejoindre tes ancètres. Implore mon pardon et j'essayerais de faire quelque chose pour toi.

Implorer son pardon ? Et puis quoi encore ? La jeune japonaise sentit son odeur d'homme entrer dans ses narines. L'odeur de la transpiration et d'autres encore plus intime. Sayhuri lui répondit avec une voix à glacer le sang, pour lui montrer qu'elle ne se laisserait pas faire malgré qu'elle soit une femme et lui un homme.

[Sayhuri]-Je ne m'excuse pas pour une chose que je ne regrette pas. Je n'ai rien à me reprocher donc vous n'avez pas à me tuer.

Les hommes rigolèrent sauf un, le ninja qui la retenait encore par le col. Quelle jeune femme courageuse, se dit-il, mais vraiment trop naïve. Se disait-elle qu'elle allait survivre après ses paroles dites comme si l'on parlementait pour un nouveau décret ? Le ninja fit un signe de sa main libre, les autres arrêtèrent de rire et maintenèrent un peu plus le jeune samouraï, tandis se que l'autre leva sa main gauche pour frapper Sayhuri au visage avec une violance étonnante. Celle-ci s'écroula à terre, l'homme eut un petit rire sadique puis lui dit d'une voix grave.

[Le ninja]-La ferme femme ! Je ne t'ai pas autorisé à me parle pauvre...

Sayhuri l'empêcha de terminer sa phrase. La japonaise enfonça sa soque de bois dans la ventre du ninja. Au même moment, elle sortit de son sac trois petits pots de poudre blanche qu'elle avait acheté et les lança dans les yeux des hommes qui lachèrent le ninja. Avant que l'homme qu'elle avait frappé n'essaya de la rattraper, Sayhuri avait sauté en direction de son ami blessé au visage autant qu'elle puis le prit par le bras pour l'emmener se cacher dans son univers, dans sa maison, la maison de thé du LookBack Flower, l'endrois où aucun policier, aucun ninja de l'Empereur ne les chercherait.