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 Etait-ce a regretter ? [Hataru]

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Sayhuri Kyoshi
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MessageSujet: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyLun 24 Mar - 19:03

Ce matin, Sayhuri se leva de bonne heure en remarquant que Hataru dormait encore, il semblait plongé dans ses rêves les plus profonds. A quoi pensait-il ? Au baiser qu'il lui avait donné le soir même ? Le regrettait-il ? Ca, Sayhuri n'en savait rien. La jeune japonaise n'avait pas prévus grand chose pour aujourd'hui. Elle irait aux champs, inconnito, pour se reposer. La Kyoshi sortit de la chambre en direction de la salle de bain pour se changer, elle n'allait pas mettre son kimono blanc neige pour aller guambader dans les champs ! En plus, elle n'avait pas le droit de sortir comme ça, c'était dangereux surtout qu'elle y allait seule. Sayhuri s'arrêta un instant devant la porte de la salle de bain en se demandant si le samouraï allait la suivre ? Enfin bon ! Il ne fallait pas s'en inquiéter, comment pouvait-il retrouver sa trace sans aucun indice ? La Maiko s'inquiétait trop depuis se qu'il c'était passé hier soir, il n'irait pas plus loin car il savait que ce ne serait pas bien, que Sayhuri ne serait pas concentante. Mais était-il bien en train de dormir au moment où elle c'était réveillée ?

La jeune femme fit glisser la porte coullissante en bois, elle la referma vite derrière elle puis s'assise sur les talons en plein milieu de la pièce. Sayhuri se déshabilla en faisant attention de ne pas déchirer le fragile kimono de soie blanc. La belle Maiko se leva puis marcha, nue, vers la grande garde robe de l'Okiya. Elle en sortit une tunique verte avec un chapeau de paille en pointe, qu'est-ce que ça faisait là ? En tout cas, c'était exactement se que la Kyoshi recherchait. C'était passe partout et rendait presque invisible dans une forêt ou un endrois vert. Une fois vétue, Sayhuri attacha ses longs cheveux en une queue de cheval puis posa son chapeau sur la tête. A ce moment là, personne n'aurait reconnut l'innocente petite Maiko, Sayhuri Kyoshi.


Tenue de Sayhuri :


Spoiler:

Etait-ce a regretter ? [Hataru] Sayu1uc5




Une fois prète, la gracieuse japonaise sortit de la salle de bain, mit au passage son kimono dans un panier de linge sale puis décida de revenir dans sa chambre, voir si Hataru dormait encore et en plus, elle devait prendre quelques affaires au cas où. Quand elle devant la porte de sa chambre, la Kyoshi fit glisser doucement la porte de sa chambre puis marcha silencieusement en direction de sa commode où étaient cachés ses affaires personnelles. Elle sortit un petit sabre qu'elle attacha autour de sa cuisse nue avec une fine lamelle de cuire, elle rebessa les pants de sa tunique verte qui cachait maintenant complètement son arme. Ensuite, Sayhuri emporta un petit sac de la même couleur que sa tenue et mit à l'intérieur une sorte de long foulard noir assez épais si jamais il faisait froid, elle pouvait même s'en servir de couverture.

Ses cheveux regettés en arrière, la japonaise sortit d'un pas rapide de la chambre pour se diriger enfin vers le lieu où elle avait décidé de sièger pour toute une après midi. Au moment où la jeune femme fut arrivée devant la porte d'entrée, sur le point de sortir, Okâsan apparut derrière elle comme si elle avait était transportée par le vent. Sayhuri ne bougea pas car elle savait que la vieille femme ne dirait rien si elle partait, elle l'avait déjà fait.

[Okâsan]-Sayhuri...Je suis au courant de se que tu caches dans ta chambre. Si tu oses t'attacher à lui, je m'en verrais obligée de le faire arrêter pour abus. Il n'a pas payé donc il ne peut te toucher comme il l'a fait. Fais bien attention Sayhuri-san. Sache que je ne veux que ton bien, tu n'es pas ma fille mais c'est comme si tu l'étais...Je ne veux pas voir ton avenir détruit à cause d'un homme.

Elle ne lui avait pas parlé méchament, elle n'avait pas crié mais ses mots filaient comme de l'eau glissant d'une montagne. La Kyoshi lui répondit juste avant de sortir de l'Okiya.

[Sayhuri]-Ne vous inquiétez pas Okâsan...Cela n'ira pas plus loin


Sayhuri mit au moin une trenteine de minute en marche rapide pour y arriver. Une fois là bas, la douce Maiko admira un instant les immenses étendues des champs de fleures sauvages, de blés et au fond, un petit ruisseau et de grands arbres mais les arbres se trouvaient encore loin pour pouvoir s'installer sur leurs épaisses branches. En plus, la japonaise était un peu épuisée par cette marche et donc ne voulait plus marcher juste pour s'asseoir dans les arbres. Sayhuri décida de s'allonger au millieu des fleurs des champs, le visage rivé vers le ciel, écoutant l'agréable mélodie que gazouillaient les oiseaux. La Kyoshi soupira, elle était contente d'être au calme.

*Ah...C'est un endrois encore plus agréable que le parc...Ici je peux passer inconnito, en plus personne ne vient jamais ici donc personne ne me dérengera...C'est bien d'avoir la paix...Je me demande se que fait Hataru en ce moment là...*

Sayhuri enleva son chapeau de paille qu'elle posa à coté d'elle puis ferma les yeux. On aurait pû croire que tout était parfait mais si un assassin venait au moment où elle ferma les yeux, elle aurait était totalement innofensive mais elle ne se rendit pas compte de son imprudence, la belle japonaise profitait du temps agréable de cette belle journée d'été.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyMer 26 Mar - 22:27

Hataru se réveilla, ses rêves avaient été assée mouvementer, il n'était pas sur que c'était vraiment des rêves ou la réalité. Le monde était assez bizarre, il avait été sauver par un jeune Maiko pendant qu'ils se cachaient tout les deux pour échapper aux forces de l'armée impérial. Soudain ils avaient été attaqué par 3 ninjas et ils les avaient frappé. La futur Geisha avait réussit à prendre Hataru et l'emmené cher elle. Ensuite ils avaient parlé et il avait été se laver. Elle lui avait demandé de se cacher le plus longtemps possible mais il s'était dit qu'il devait partir le plus vite possible pour ne pas attirer d'ennuis à sa jeune sauveuse. Ensuite il l'avait embrassé mais elle l'avait repoussé, après le baiser, en lui disant que c'était un amour impossible et que leur métier le leur interdisait.
Hataru ne se rappelait plus trop de comment c'était fini son rêve. Mais lorsqu'il ouvrit les yeux il vit qu'il n'était pas cher lui mais cher la jeune Maiko, Hataru soupira, il comprit que ce n'était pas un rêve mais que son "rêve" c'était vraiment passé. Il voulu voir Sayhuri mais il ne la vit pas, il se dit qu'elle avait du partir pour ne pas le voir et elle devait espérer qu'il partirait sans lui dire au revoir. Mais Hataru n'était pas résolu à la laisser s'en aller comme cela, il voulait savoir si ils pourraient être ensemble plus tard, il devait savoir. Il voulu se lever mais il entendit des pas qui se dirigèrent vers la chambre, Hataru se recoucha et fit semblant de dormir. La porte s'ouvrit et Sayhuri apparut dans la chambre, elle se dirigea vers un meuble et y prit un objet qu'Hataru ne vit pas et s'en alla. Hataru se leva et décida de la suivre pour pouvoir lui parler si elle voulait bien l'écouter.

Hataru du se cacher pour éviter l'Okasan, qui alla parler à Sayhuri, mais la distance ne permettait pas à Hataru d'entendre ce qu'ils se disaient. Ensuite elle sortit de l'Okiya et s'en alla vers les quartiers de paysans. Hataru la suivit pendant une bonne demi heure avant qu'elle ne se décide d'aller dans un champ et de ce coucher. L'air était pur et elle en profitait. Hataru aurai voulu en profiter lui aussi mais il voulait d'abord parler avec Sayhuri, il voulait savoir si leur amour pourrait se concrétiser un jour.
Il s'approcha d'elle et lui dit lorsqu'il se trouva à quelques mètres d'elle:

[Hataru]- On peut parler? S'il te plait. Je voudrai qu'on reparle de la soirée d'hier si ça ne te dérange pas. J'ai besoin de savoir ce qui pourrait nous arriver si nous décidions d'être ensemble.

Hataru resta debout à quelques mètres de la futur Geisha, l'air aussi sincère qu'il pouvait.
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Sayhuri Kyoshi
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyMer 26 Mar - 23:27

Le silence était présent. La nature tout comme le vent ne disait mot. Aucun oiseau ne gazouillait de mélodie agréable, les nuages avançaient si lentement qu'à coté, même un escargot faisait la course. C'était très étrange, comme si le monde s'arrêtait lorsque Sayhuri repensait à sa soirée d'hier. Si ils ne s'étaient pas rencontrés, que se serait-il passé ? Le samouraï aurait-il continué sa vie habituelle ? Aurait-elle pû repenser tellement à son fiancé décédé ? La jeune femme avait du mal à se faire à la présence du samouraî, ne sachant aucune de ses intentions. Serait-il prèt à gravir les marches de l'enfer pour la retrouver au fin fond d'une grotte perdue au millieu d'une montagne entourée d'un lac de feu ? Après tout, elle méritait une personne courageuse, non ? Enfin un homme doux et attentionné lui suffirait grandement mais cette partie du coeur d'un homme qui l'oblige à protéger une personne qui lui est chère est essentielle, c'est un petit plus. La Maiko repassait dans sa tête les fois où son ancien fiancé l'avait défendu, contre des personnes méchantes qui lui voulaient du mal, il l'avait défendu et malgré sa gentillesse ainsi que son courage, il était mort, il était loin de Sayhuri qui l'avait éperdument aimé.

Le vent se remit à souffler, il caressa la peau brûlante de la jeune japonaise qui bronzait sous le beau soleil d'été. La Kyoshi décida de ne plus penser à tout cela. Penser au jeune samouraï la rendait nerveuse, rustrée et elle se sentait rougir. Ses beaux cheveux luisaient sous le soleil comme si elle les avaient recouvert d'une crème pour rendre les cheveux brillants. Une douce odeur de menthe fraîche émanait du corps de la japonaise. Ses yeux auparavant clos s'ouvrirent lentement pour se fixer sur les brins d'herbes qui l'entouraient soudain, un bruit la fit légèrement sursauter. Qu'était-ce ? Etait-ce humain ? Sayhuri se redressa un peu pour ensuite aperçevoir la fine silhouette musclée du samouraï qu'elle avait sauvé. Que faisait-il ici ? L'avait-il suivit sans qu'elle ne s'en rende compte ? Son regard bleu perçant se posa sur Hataru, aucun mot de sortit de sa bouche bien que ses lèvres soient entre ouvertes. Hataru, lui, prit la parole sans attendre la phrase interrogative de Sayhuri.

[Hataru]- On peut parler? S'il te plait. Je voudrai qu'on reparle de la soirée d'hier si ça ne te dérange pas. J'ai besoin de savoir ce qui pourrait nous arriver si nous décidions d'être ensemble.

Parler de ça ? Génant comme sujet de conversation. Pourquoi être ensemble alors que c'était impossible ? Connaisait-il la bonne vieille coutume chez les Geishas ? Etait-il assez rusé pour convaincre Okâsan d'être sienne sans pour autant avoir...Enfin était-il assez noble de coeur et d'esprit pour que la vieille femme la lui laisse en lui faisant confiance ? La Kyoshi en doutait. Sayhuri ne la connaissait pas depuis bien longtemps mais elle avait bien en tête le caractère de Okâsan comme si elle avait vécus avec elle autant que les autres Maikos. Comment était-elle cette femme que l'on surnommait le Vent de la Rosée qui avait ouvert il y a bien longtemps cette maison de Geishas ?

Okâsan avait, soit disant, comme nom Tsubaki. Elle était une grande Geisha en son temps qui faisait fondre le coeur froit de bien des hommes. La vieille femme était la femme la plus respectée de tout Tokyo, et ses environs, bien sûr, elle l'est toujours autant. Okâsan sauva nombreuses filles de leur pauvre famille en leur offrant un avenir, un avenir déjà tracé bien que difficile pour y arriver. La propriétaire de la maison de Geisha avait dans les 40 ans à vut d'oeil mais au fond d'elle, Sayhuri doutait de cet âge car Okâsan était une femme marquée par les époques qu'elle avait traversé. Elle avait faillit connaître la mort à nombreuses reprises mais elle était comme le chène, elle était indestructible.

Maintenant, le coeur et le corps de Sayhuri, qui formaient ensemble une sorte de Yin et de Yang, étaient désirés par un homme aussi fort de coeur que d'esprit, aussi courageux que n'importe quel Shogun, aussi sâge que le plus vieil homme d'un village, aussi beau que n'impotre qui et aussi gentil qu'Okâsan. Que faire ? Si elle le laissait acceder à son coeur, son âme serrait prise au piège dans un infini manège d'amour et il prendrait possession de tout. Si par malheur ils venaient à faire la plus grande bétise qui pouvait être faite, Sayhuri perdrait tout. Par contre, si Hataru parlait à la vieille Okâsan, c'était peut être possible de pouvoir faire quelque chose sans troubler l'armonie naturelle.

La Kyoshi détourna pendant un instant son regard de celui du jeune homme. La Maiko ne savait pas quoi répondre. Peut être ignorait-il les traditions ? Non, c'était impossible car même elle qui ne venait pas de ce monde ne les ignorait pas. Pour ne pas le laisser en plant sans rien dire, Sayhuri leva ses yeux bleus perçant pour poser son regard dans celui du samouraî, elle lui dit d'une voix douce.

[Sayhuri]-Je ne sais pas. Vous devez savoir la destinée d'une Maiko avant d'être Geisha donc je ne peux rien vous dire d'autre à part d'attendre le moment oportin. Je ne suis pas magicienne, je ne suis pas Okâsan, je suis d'une simple Maiko attendant que la vie passe ou trépasse. Si vous ne pouvez réellement pas attendre, je ne pourrais pas vous aider. Que décidez-vous ? Que feriez-vous ?

La belle japonaise aux yeux couleur pluie ne quittait pas Hataru du regard de peur qu'il ne parte, pourquoi ? Elle n'en savait rien. La Maiko ne voulait pas qu'il parte comme Ichiro était partit. Mais une question la tracassait. Devait-elle lui dire se qu'il attendait ? Devait-elle lui dire la vérité ? Si elle lui disait qu'elle éprouvait le même pincement de coeur à chaques fois qu'elle le voyait allait-il à nouveau l'embrasser aussi fougeusement qu'il l'avait fait ? Sayhuri n'en savait rien donc préférait garder ça pour elle seule, attendant que le moment soit venus.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptySam 29 Mar - 20:07

Hataru venait de demander à Sayhuri si ils pouvaient parler de ce qu'il avait fait le vieille dans la chambre de la jeune Maiko, il ne voulait pas renoncer à elle sans devoir ce battre, pas se battre dans le sens de donner des coups, mais dans le sens de parler avec convictions et avec les gens qu'il faut. A commencer par Okasan en personne si cela est nécessaire. Il n'était pas prêt à tout faire pour la garder prêt de lui, si elle voulait bien, bien sur. Il ne voulait pas la rendre malheureuse non plus, mais si elle avait peur de la réaction de sa "Mère", Hataru pourrait s'en charger, rien ne lui faisait peur pour le moment sauf le faites qu'elle ne parte en lui disant qu'une phrase : "va t-'en."
Hataru se demanda à quoi elle pouvait bien pensée. Mais il n'osait pas lui demander, de peur qu'elle le prenne mal. Son chapeau cachait en partie son visage, surtout avec sa tête baissée, elle devait regarder le sol, Hataru se demanda pourquoi elle ne le regardait pas, elle devait surement pensée à quelque chose qu'ignorait Hataru, à moins que ce soit quelque chose qui les concernent tout le deux. Hataru n'en savait rien et il préféra la regarder, elle était encore plus belle que la vieille, son long kimono vert ressortait comme un pomme au milieu d'un champ, bien entendu la proportion n'était pas la même mais c'était une métaphore. Son chapeau cachait son visage, Hataru essaya de le voir mais n'y arriva pas, son chapeau était trop descendu pour que quiconque ne puisse admirer son visage, ses yeux bleus, ses cheveux..., personne ne pouvait voir son visage.

Elle leva son visage pour voir Hataru de ses yeux, Hataru ne su quoi dire sur le moment, il préféra attendre qu'elle parle la première, surtout après sa réflexion et sa question, elle le regarda, on voyait bien que ses pensées était ailleurs, le samouraï se demanda encore à quoi elle pouvait bien pensée, mais aucune idée ne lui vint, donc il attendit, pas longtemps car elle lui dit:

[Sayhuri]-Je ne sais pas. Vous devez savoir la destinée d'une Maiko avant d'être Geisha donc je ne peux rien vous dire d'autre à part d'attendre le moment opportun. Je ne suis pas magicienne, je ne suis pas Okâsan, je suis d'une simple Maiko attendant que la vie passe ou trépasse. Si vous ne pouvez réellement pas attendre, je ne pourrais pas vous aider. Que décidez-vous ? Que feriez-vous ?

Hataru se rappela des engagements qu'une Maiko devait respecter pour en rester une et les "choses" qu'elle devait faire pour devenir une Geisha. C'était simple, elle devait être avec un homme et vendre sa virginité, mais le problème était que c'est l'Okâsan qui doit donner l'homme à la Maiko. C'est surement pour ça que Sayhuri ne voulait pas être avec lui, c'était pour être sur qu'il n'ait aucun ennuis avec Okâsan. Hataru commençait à comprendre la dur vie qu'elle devait vivre si elle était vraiment amoureuse du jeune samouraï. Hataru réfléchissa à ce qu'il pourrait dire pour la convaincre qu'il serai capable d'aller parler à "Mère" et qu'il aurai l'accord pour qu'elle devienne Geisha, ainsi que tout les rituels qui s'en suivent . Mais il ne savait pas comment formuler ces mots pour qu'elle accepte et qu'elle lui donne l'autorisation d'aller parler à l'Okâsan. Soudain une idée lui vint:

[Hataru]- Oui je connait les règles qui obligent les Maiko et les Geisha. J'ai du les apprendre lorsque j'ai du prendre ma première Maiko en mission. J'ai du connaître leur tradition, leur coutumes pour ne pas paraitre impolis devant elle. Quant à nous, je suis prêt à aller parler à votre Okâsan et lui demander pour avoir ta main, si tu le désire, je ne sais pas ce qui m'arrive , depuis que tu m'a sauvé hier, des sentiments sont nées en moi, contre ma volonté. Je suis désolé mais je ne sais pas comment les affronter, ils sont nouveaux en moi et je ne peux aller à l'encontre de ceux-ci. Mais si tu ne veux vraiment pas de moi, je ne te retiendrai, dit le moi et je partirait. Je te laisserai derrière moi et n'essayerai plus de te revoir, ce sera difficile mais je devrai pouvoir y arriver, du moins je l'espère.

Hataru avait dit ce qu'il avait à dire, il espérait qu'elle n'allait pas lui demander de partir. Mais il voulait son bonheur, il avait appris à laisser le sien de coté pour accomplir des missions. Même si cette fois ce n'était pas une mission, il était prêt à laisser ses sentiments de coté pour le bonheur de la seul personne qui compte pour lui, Sayhuri Kyoshi.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptySam 29 Mar - 20:53

Qu'est-ce que l'amour ?
Une sentiment comme les autres ?
Vous prend il aussi au coeur pendant un moment comme la tristesse ?
Est-ce agréable ?
L'amour est-il comme le Yin et le Yang ?
Deux choses qui ne se ressemblent pas mais quand elles s'assemblent, forment la paix.
Est-ce que c'est possible d'aimer même si on nous l'interdit ?
Pourtant on se sent serrer dans son corps,
Lorsque la personne que l'on aime,
Se trouve si prèt de vous que l'on se sent fiévreux,
On a l'impréssion,
Que l'on est capable de tout,
Même,
De l'impossible...

Pourtant,
Dès qu'elle le regarde,
Elle sent voir en lui un protecteur,
Une âme solitaire cherchant refuge dans le coeur d'une femme,
Si seule,
Si servile.
Ses yeux bleus parcourent chaques parcelles de son visage,
A la recherche d'une réponse à ses questions.
Peut-elle laisser ses sentiments sortir de son âme ?
A-t-elle le droit de l'aimer comme lui il l'aime ?



La visage de Sayhuri s'éclaira étrangement lorsque celui-ci parla de Okâsan. Serait-il prêt à ça pour l'obtenir ? C'était très...Enfin c'était étrange d'entendre un homme dire ça, surtout LUI dire ça. Etait-il au courant de se qu'il allait se passer ? Etait-il conscentant ou était-ce juste une idée en l'air pour pouvoir l'avoir prêt de lui ? L'aimait-il vraiment ou la voulait-il juste dans son lit, à ses côtés ? D'après Okâsan, il fallait se méfier des hommes ainsi que de leurs paroles. Ils sont pervers mais intelligents, il faut être prudente lorsque l'un d'eux vous courtises tel un gentlemann. La Maiko cacha un instant son visage derrière son chapeau de paille, serra ses mains contre son coeur, se demandant s'il fallait l'écouter ou écouter Okâsan. La vieille femme ne lui parlait que par expériance après tout, mais Hataru était-il digne de confiance ? Sayhuri ne savait plus qui écouter. Son coeur ? Son protecteur ? Sa protectrice ?

Le vent soufflait toujours aussi faiblement. Sauf que maintenant, il ramenait des pétales de fleurs diverses qui flottaient dans le vent tel des conféties qu'on lance lors du carnaval. C'était agréable la sensation de fraîcheur, de libertée. Le soleil caressait délicieusement la peau propre de la jeune femme au regard bleu ciel, bleu ciel d'été. Dans des moments pareilles on se sent...libre...fort...capable de tout comme...comme...

*...Lorsque l'on est amoureux...*

Soudain, les pensées de la belle japonaise tournoyaient dans son esprit comme un tourbillon rapide et incessant. Son regard devint vague, comme si son coeur venait de cesser de battre pour faire autre chose mais au lieu de ça, il se mit à vite battre. Sayhuri n'osa plus regarder le samouraï, elle détournait son regard du sien en regardant les montagnes au loin, le Mont Fuji qui était toujours aussi magestueux, les rizières qui se trouvaient à l'ouest ainsi que la grande ville ancestralle de Tokyo à l'est. La Kyoshi se sentait faiblir, comme si elle avait avalé du poison paralysant, ses mains devenaient moites, ses yeux embuaient, sa gorge sèche. Puis elle décida de se ressaisir.

*...Se n'est pas comme ça que je vais paraître belle...Je dois être bien dans ma peau et non triste comme un dépressif. Garder la tête haute, le visage joyeux, le sourire aux lèvres et des paroles bien réfléchie à dire pour ne pas paraitre stupide. Mais dans ses moment là, que faire ?*

Sayhuri avança d'un pas vers Hataru mais ne s'arrêta pas, elle marcha vers lui, décidée. Pourquoi faisait-elle ça ? Qu'avait-elle derrière la tête la petite Maiko ? Eh bien, c'était pas bien compliqué ! Lorsqu'elle fut devant lui, elle s'approcha tout prèt de lui, son regard devint tendre, presque hypnotique. Son visage était si prèt de celui du jeune samouraï qu'elle pouvait sentir son souffle sur sa peau. Sayuhri plongea son regard dans le sien puis lui demanda dans un murmure.

[Sayhuri]-Peux-tu...Peux-tu refaire se que tu as fait hier soir ?
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyDim 30 Mar - 0:21

Hataru venait de dire ce qu'il avait à dire, il espérait qu'elle ne partirait pas en le giflant comme pourrait faire d'autres femmes qui ne voudrait pas vivre une relation avec lui et qui en aurait marre de son obstinité envers elle. Elle devait surement se demandée pourquoi il s'obstinait autant, ça aurait été normal, beaucoup de personnes en auraient eu vite marre, mais pas elle, du moins si elle était encore là c'est qu'elle avait envie de parler avec lui, ou alors c'est qu'elle avait envie de lui briser le cœur. Hataru ne se demandait pas trop pourquoi elle était encore là, il se demandait surtout ce qu'elle allait lui répondre et comment elle allait réagir.

Soudain elle détourna son regard du jeune samouraï, elle voulait éviter son regard, mais Hataru se demanda pourquoi, il ne dit rien mais la question lui brulait les lèvres. Puis elle le regarda à nouveau et s'approcha de lui à pas lent. Elle ne s'arrêta pas et arriva à quelques centimètres de son visage, leur odeur se mélangèrent, se confondirent. Leur souffle ne fit plus qu'un, leur lèvres se touchèrent presque, elle ne se touchaient pas, bien. Leur regard se confondirent, plus rien n'avait d'importance autour d'eux, les champs eux-même avait l"air de ne plus bouger pendant ce court moment de silence mêlée d'envie. Le sang qui était en train de couler dans les veines du jeune samouraï sembla se figer de chaud, il aurai pu fondre si cela était possible. Hataru n'avait jamais connu ça, cette sensation de proximité était quelque chose de nouveau pour lui, cette étrange sensation, qu'il ne contrôlait pas, lui faisait plaisir. Tout en plongeant son regard dans celui du samouraï, elle lui dit:

[Sayhuri]-Peux-tu...Peux-tu refaire se que tu as fait hier soir ?

Hataru avait cru mal entendre, elle voulait qu'il l'embrasse encore? Ou était-ce une autre chose qu'il avait fait dans la chambre, ou alors dans le parc des cerisiers. Hataru allait prendre sa décision, il allait l'embrasser.
C'est ce qu'il fit, il prit sa tête entre ses mains musclé et prit la tête de son amie et la rapprocha de la sienne pour lui déposer un doux et long baiser. Leur lèvres restèrent coller de longue secondes qui parraissairent interminable. Interminable et on aurai pu croire que c'était un pan de paradis. Rien n'avait fait plus plaisir à Hataru depuis sa naissance.

(désolé du petit post).
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyDim 30 Mar - 0:41

Hataru ne c'était pas fait prié. Il n'avait pas attendu, il l'avait fait en ne prenant que quelques secondes pour vérifier si il avait bien entendu et quelques secondes pour se décider. Après cela, le baisé fougueux qu'il lui donna fut long, doux et adorable. Sayhuri pouvait sentir le souffle chaud du jeune samouraï contre sa peau, son odeur se méler à la sienne et leurs lèvres en train de faire une sorte de danse de la sensualitée et de l'amour. Une larme de plaisir faillit s'écouler le long de la joue de la jeune Miako mais elle disparut au moment même où elle apparut. Que ce moment était agréable, un moment que l'on veut infini, qu'on souhaite qu'il se reproduise encore et encore mais hélas, rien n'était encore joué. Pour l'instant, bien qu'ils n'aient pas le droit, ils le firent quand même, sans se soucier de l'avis de bon nombre de personnes et en plus, ils étaient seuls en plein milieu d'un champ, en plein milieu de nul part dans un endrois si désert que même les fleurs s'y perdent.

Ce moment dura quelques secondes mais pour le couple naissant, se fut comme si des jours et des jours s'étaient écoulés sans s'en être rendu compte. Ce moment de tendresse était rare dans la vie d'une Maiko, il fallait en profité. La seule personne qui lui avait jamais fait ça été son ancien petit copain, Ichiro. Bien sûr, ils avaient passés de nombreux moment comme celui-ci mais avec Hataru, tout semblait différent. Le goût de l'amour avait refait surface dans le coeur de la belle japonaise comme lorsqu'une fleur éclos après des jours et des semaines, des mois entiers d'automne et d'hiver, désormais dans le coeur de Sayhuri reignait le printemps. La Kyoshi fut très contente qu'il accepte de le refaire rien que pour elle, bon, pour lui aussi mais parce qu'elle lui avait demandé.

Lorsque leurs lèvres se séparèrent presque avec regret, la Maiko reprit discrètement son souffle puis regarda sans rien dire le jeune samouraï. Que devait-elle dire ? Lui dire 'Je t'aime' était trop habituelle ! Il faut innover ! En bref, Sayhuri et Hataru s'asseyèrent sur le sol fleuris, la jeune femme se blotti contre lui, contre son coeur, profitant de se moment de solitude qu'ils pouvaient passer sans se faire remarquer, sans se faire dérenger, en était tranquillement en amoureux. Ce moment ne se reproduirait peut être pas donc il fallait en profiter. La jeune japonaise se mise à observer Hataru avec un tendre sourire en exhibant sa belle dentition. Leurs visages étaient à nouveau proche mais ils ne s'embrassèrent pas. Sayhuri lui dit d'une voix claire et douce, comme si elle avait susuré cette phrase.

[Sayhuri]-Merci...Hataru-san...

La jolie Maiko enfouit son visage dans le coup du samouraï, humant son odeur, goutant à la douceur et à la fermeté de sa peau masculine et poilu (désolée ^^'). Sayhuri se redressa, elle était presque sur lui donc elle recula un peu, ce n'était pas la peine de se jeter sur lui comme une courtisane. Sans savoir pourquoi, la japonaise eut un petit rire discret, pas méchant bien sûr. En voyant la mine interloquée de Hataru, la Maiko s'expliqua pour ne pas qu'il le prenne mal, on ne sait jamais comment les gens interprètent vos réactions.

[Sayhuri]-Ne t'inquiète pas ! Je ne rigolais pas à cause de toi, c'est juste que...Ba je suis heureuse ! Ce n'est pas difficile à expliquer ! C'est étrange peut être mais je trouve ça normal de rire et de sourire dès que l'on est heureuse.

Sayhuri esquissa un grand sourire puis passa ses bras autour des épaules du samouraï, posant sa tête sur son épaule et sa tête contre la sienne. Elle enlaça tendrement l'homme qui venait de lui offrir le plus beau cadeau qu'un homme peut offrir à une femme, un baiser.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyDim 30 Mar - 13:21

Sayhuri venait de demander à Hataru e l'embrasser, ou du moins de refaire ce qu'ils avaient fait le vieille. Hataru avait directement pensé au baisée. Donc il le renouvla, il prit la tête de Sayhuri et leur lèvres se collèrent pendant quelques secondes, mais des secondes magique, inoubliable. Lorsque leur lèvres se quittèrent, Sayhuri entraina Hataru vers le sol et ils s'asseyèrent sur le sol. Il se regardèrent tendrement, puis le jeune Maiko s'approcha du visage du samouraï et lui murmura:

[Sayhuri]-Merci...Hataru-san...

Puis elle déposa son visage sous le coup musclé et "poilu" d'Hataru, ce dernier sentit encore une fois la douce odeur qui se dégageait de la jeune femme qui faisait chavirer son cœur depuis moins de 24 heures. Son parfum n'était pas le même que la vieille on aurait dit qu'elle avait mit un autre parfum, il sentait encore plus bon, rien que l'odeur réenvoûtait le samouraï. Il était sur maintenant que les sentiments qu'il ressentait pour elle était des sentiments que ses senseis avait tout fait pour ne pas lui montrer. Il leur faisait défaut, cela aurait pu être considérer comme une haute trahison. Mais était-ce vraiment une trahison d'aimer une femme, c'était la question qui restait en tête pour Hataru. Mais il essaya de ne pas se répondre à lui même, il voulait profiter de ce moment qui ne se renouvèlerai peut être jamais.
La futur Geisha émit un petit rire tout en regardant Hataru. Il se demanda pourquoi elle rigolait, bien que son rire fut furtif, Hataru l'avait remarquer. Rien, dans son comportement, n'avait pu valoir qu'elle se moque de lui, a moins qu'il ait un morceau de son déjeuner qui soit rester entre ses dents. Il ne le savait mais elle avait du remarquer son étonnement car elle s'epressa de lui dire:

[Sayhuri]-Ne t'inquiète pas ! Je ne rigolais pas à cause de toi, c'est juste que...Ba je suis heureuse ! Ce n'est pas difficile à expliquer ! C'est étrange peut être mais je trouve ça normal de rire et de sourire dès que l'on est heureuse.

Hataru n'était pas sur d'avoir tout comprit, il se mit à rire aussi, il ne savait pas pourquoi, mais l'envie lui prit et il se lâcha. Personne ne pouvait les voir donc ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient.ou du moins il y a des limites bien sur. Mais il n'y avait personne dans les alentours donc il ne devait garder une distance pour ne pas éveiller les soupçons. Ils étaient libre pour le moment.
Hataru regarda le jeune femme qui avait sa tête déposer sur son coup et lui dit:

[Hataru]-Je me sens bien auprès de toi, je ne sais pas pourquoi, mais les sentiments que je ressent envers toi ne m'ont jamais été connu auparavent. Si un samouraï peut être amoureux c'est ce sentiment qu'il ressentira, je le sais maintenant.

Hataru regarda et sentit encore le doux parfum de Sayhuri. IL ne parlait qu'avait son cœur avec elle, toutes les techniques qu'il avait appris pour dissimuler ses sentiments et ses envies, Hataru n'arrivait pas à les appliquer sur elle, il était trop.......amoureux.

Soudain, le vent se mit à souffler fort, Hataru enveloppa Sayhuri autour de lui. Puis le vent s'arreta en un coup, le samouraï rigola, le chapeau de paille de le jeune Maiko s'était envoler à quelques mètres. Hataru lâcha son emprise sur Sayhuri et lui montra d'un signe de doigt son chapeau. Hataru se remit à rire. Pendant un instants il avait cru que c'était un danger mais apparemment ce n'était que le vent qui soufflait. Mais quelques chose fit arrêter net le sourire d'Hataru. Il y avait une personne au loin, qui était apparue juste après le vent, ou pendant la jiboulée. Hataru n'aurait su le dire mais cette personne ne lui inspirait pas confiance. Ils devaient s'en méfier.

[Hataru]-Dit, tu connais cette personne? Elle ne m'inspire pas confiance.

Hataru pointa du doigt l'homme au loin, il avait un chapeau qui couvrait son visage et un long manteau, ou du moins ça y ressemblait, noir. Il n'inspirait pas confiance au premier regard. Hataru rapprocha ses armes près de lui au cas où l'homme aurait des intentions négatif.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyDim 30 Mar - 14:30

[Hataru]-Je me sens bien auprès de toi, je ne sais pas pourquoi, mais les sentiments que je ressent envers toi ne m'ont jamais été connu auparavent. Si un samouraï peut être amoureux c'est ce sentiment qu'il ressentira, je le sais maintenant.

Sayhuri esquisa un sourire amoureux au jeune samouraï qui semblait sous son charme tout elle l'était sous le sien. Irait-il vraiment chez Okâsan pour lui demander cette chose si tabou ? C'était possible mais il y avait une pointe de crainte dans le coeur de la belle Maiko qui n'espérait rien d'autre que d'arrêter cette vie de servitude bien que se soit impossible. Pourquoi ne pas se reconvertir en étant une servante au service de ce samouraï ? Non, c'était dégradant, par contre, pourquoi ne pas faire une reconversion en devenant apprentit samouraï ? Après tout, quand elle était dans son ancien monde, elle avait fait des cours d'escrime donc elle aurait déjà un avantage dans son entrainement. Et puis, vivre comme un samouraï avait un avantage, la liberté qu'elle n'avait pas en étant Maiko et en devenant Geisha. Mais peut être que Hataru ne voudrait pas cet avenir pour sa petite protégé. Peut être l'acheterait-il en tant que Geisha personnel quand elle en deviendra une ? Peut être la laisserait-il vivre comme toutes ses femmes vivant auprès de leur mari ? Non, c'était un rêve irréalisable. Mais un le vent fit s'envoler le chapeau de la Kyoshi, ils le regardèrent puis se mirent à rigoler en coeur. Le rire du samouraï s'arrêta lorsqu'une ombre inconnu apparut loin d'eux, Hataru lui demanda elle connaissait cet homme, elle lui fit signe que non puis l'ombre disparut sur le champ comme si ce n'étai qu'une illusion. Le vent soufflait légèrement dans les cheveux attachés de la jeune et jolie japonaise. Le couple était rassuré, la personne tait partit.

Ses yeux était mis clos, ses belles pupilles étaient cachées derrière ses paupières et ses lèvres s'étaient étirées en léger sourire, elle était bien là, avec Hataru près d'elle, c'était agréable. Il y avait quelque chose qui ferait que ce moment de tendresse ne durerait pas très longtemps parce quelqu'un, ou plutôt plusieurs personnes étaient cachés à regarder le couple calmement et silencieusement, qui était-ce ? En tout cas, ce groupe comportait 3 personnes inconnus mais qui ne semblaient pas venus pour prendre le thé sous un arbre en profitant de la tranquillité de la nature ainsi que celle de la journée.

[?]-...Ils font quoi là ?! On a pas que ça a faire...Cette Maiko ne devait pas partir de chez elle et elle est partit. Cette Okâsan nous a demandé de vérifier qu'il n'aille pas plus loin et que si sa se passait on devait la ramener chez elle et faire son compte à ce samouraï de pacotille. Que fait-on alors que c'est elle qui l'a demandé ? La vieille nous a payer pour qu'on la protège, là, on ne peut rien faire...

[!]-...Oui mais si on les laisse ensemble, Okâsan nous a prévenus qu'il ne devait PAS la toucher. Ils sont peut être amoureux mais on doit empêcher ça, elle nous l'a ordonner. Elle n'a surment pas fait appel à nous pour qu'on les regarde, attendant que le temps tourne et que le soleil aille se réfugier derrière le Mont Fuji. Cette fille est insolante pour oser faire ça alors qu'elle n'ai non seulement pas Geisha mais en plus, celui-ci n'a même pas payer pour l'avoir à ses cotés...

[X]-...Allons y...Nous n'avons plus rien à faire ici...

[? et !]-...Mais ?!

[X]-Ce n'était pas une question, c'était une affirmation, rentrons. Nous expliquerons qu'il ne c'est rien passé, sinon, ces deux là aurons de gros ennuis à cause de nous donc partons. Je n'ai pas envie de détruire ces deux misérables vies.

Les trois inconnus partir, ouliant tout se qu'ils avaient vu, même le baiser qu'avait offert le beau samouraï à sa tendre moitier. L'un d'eux leur avait sauvé la vie mais qui était-elle ? En tout cas, bien que la Maiko et Hataru n'ai rien vu et rien entendu, ils ne savaient rien. Si ils les avaient vu, si ils les avaient entendu, ils les auraient surment remercier pour leur silence. La personne qui leur avait évité de gros ennuis n'était autre qu'un ancien camarade de Hataru. Ils s'étaient rencontré à l'école des samouraï, avaient combattut ensemble et s'étaient amusés comme deux gamins normaux. Celui-ci, en le revoyant, avait revut son ami d'enfance qui avait tenue au même moment que lui, son premier katana. Bien sûr, il y avait une pointe de jalousie dans son coeur en le voyant embrasser la jolie et jeune Maiko mais bon, il le méritait au fond.

Sayhuri s'allongea sur le dos, laissant son chapeau par terre qui s'était auparavant envolé à quelques mètres d'eux. Hataru s'allongea à coté d'elle, elle se blotti contre lui. Sayhuri tourna son visage vers le ciel, ouvrant ses yeux bleus qui sillonaient le ciel infiniement bleu. L'ombre du blé les cachait du soleil agressif de l'été. L'amour dans les prés se remplaçait par l'amour sentimentale. Le coeur de la jeune femme se fit plus légé lorsque un faible vent raffraîchit la peau brûlante, son coeur battait moin fort que lorsque Hataru l'avait embrassé mais il battait toujours très vite et fort, rien que pour lui.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyMar 1 Avr - 13:07

Hataru venait d’apercevoir un homme qui était apparus après un gros coup de vent, il demanda à Sayhuri si elle le connaissait mais elle lui dit que non. Quelques instants plus tard l’homme masqué disparut à une vitesse qu’on aurai pu imaginer que le vent l’avait emporté dans son sillage, sans laissé de trace. Avant qu’Hataru n’aille reprendre le chapeau de sa bien-aimée, 3 inconnus, qui étaient en mission pour l’Okâsan, espionnait les jeunes amoureux furtivement caché derrière un buisson. Ils discutèrent et débâtèrent pour savoir si ils allaient faire un rapport complet de ce qu’ils avaient vu ou si ils allaient mentir sur ce qui venait de se passer, oublié juste un détail ; le baiser et les câlins que le samouraï et la Maiko s’était donné en toute intimité pour ne pas être vu par des yeux indiscret, malheureusement ils avaient été bu à leur insu par les 3 inconnus. Mais heureusement pour eux, les 3 inconnus décidèrent d’oublier ce qu’ils avaient vu afin de ne pas créer de problèmes avec les 2 tourtereaux. Ils s’en allèrent tout aussi furtivement qu’ils étaient venu. Le secret de cette accord entre eux est du au faites que l’un d’eux était un ami d’Hataru, ils avaient été à l’académie des samouraïs ensemble et avaient passé leur brevet ensemble. Ils l’avaient réussi du premier coup et étaient resté amis pendant quelques temps, mais au fur et à mesure qu’ils grandissaient et qu’ils changeaient de statuts, ils ont commencé à se voir de moins en moins jusqu'à ne plus se voir du tout ; Hataru étant monté des les plus au rang de la dynastie samouraï et son compagnon ayant été affecté dans un autre service plus militaire que protection de personne comme tout bon samouraï. Jamais ils ne s’étaient battu pour une fille bien qu’ils auraient pu vu le succès qu’ils avaient auprès d’elles (^^). Mais lorsque l’inconnu avait vu son vielle ami avec cette jeune et magnifique femme, il s’était rappelé tout les bons moments passé avec le samouraï et ne voulait pas gâcher ce bonheur qui serai surement rompus d’ici peu par d’autres personnes qu’eux. Mais s’ils faisaient attention peut être que leur amour resteraient secret et qu’ils pourraient le vivre pleinement. Mais ça, seul l’avenir en décidera.

Hataru alla récupérer le chapeau de paille de la jeune Maiko et le lui rapporta. Elle le remit sur sa tête pendant qu’Hataru se rasseyait sur le sol doux et légèrement humide, dû à la rosée du matin qui foudroie en quelques sortes les sols terreux et végétaux à l’aube. Personne ne savait exactement pourquoi la terre était mouillée le matin, c’était comme ça et il fallait s’y faire. Cela pouvait avoir des avantages et des désavantages, cela changeait en fonction des personnes ; les cultivateurs sont contents car ils doivent moins arrosé leurs champs mais les aventuriers sont moins heureux car leurs affaires de voyage sont mouillées. Dans un monde tel que celui-ci, tout est relatif par rapport à une personne. Tout ce qui existe est fait pour être utilisé et exploité par un groupe de personne, cela s’appelle “métier. Beaucoup de personne n’aime pas leur métier mais ils doivent conserver ce qui est le plus important à leur yeux, ce qui leur est expliquer dès leur plus jeune âge ; l’honneur de la famille, l’honneur de l’Empereur et l’honneur de soi. Dans ce monde où tout le monde à sa place et où les personnes qui ne la trouvent pas sont bannis ou tuer car ils prennent une autre voie, il est essentiel de conserver les ressources que la famille produit, donc les métiers ce transmettent de père en fils et ainsi de suite. Bien que les enfants ne comprennent pas toujours le sens du mot “honneur“, ils doivent l’apprendre le plus tôt possible pour que les parents les instruisent dans leur futur métier. Généralement les enfants suivent la voie que la famille entreprend quelques décennies auparavant pour garder “l’honneur de la famille“ et son prêt à mourir pour l’Empereur qu’ils croient être un Dieu qui serait venu sur terre pour veiller sur les humains. Ces sorte de lois sont repris dans le “Bushido“ intégralement “La voie du samouraï“.

Hataru s’était assis, il se coucha à présent et contempla le ciel bleu, après que la courte bourrasque aie frappé, le ciel était redevenu d’un bleu éclatant. Hataru adorait le soleil et les ciels bleus, c’était pour lui un moyen de s’échapper de la dur réalité de la vie, de pouvoir s’envoler comme un oiseau libéré de sa cage juste pendant quelques instants, un oiseau qui serai enfermé constamment et qui n’aurai droit à s’envoler que lorsque le ciel est bleu et sans nuage. Ce serai un moment que chaque oiseau attendrai avec impatience, un moment inoubliable exactement comme ce moment précis ou un samouraï et une Maiko ne pouvaient se voir que lorsque le temps le permet, que les personnes qui sont censé les surveiller ne les surveillent pas car ils sont distrait par quelque chose d’autre, un moment magique qui vaut tout l’or du monde, un instant de bonheur intense.

[Hataru]-J’aime le ciel, il est très beau aujourd’hui. Dans ma culture il faut remercier chaque chose pour ce qu’il nous procure. Il faut remercier la pomme de s’offrir à nous, comprends-tu ? Maintenant je remercie le ciel de m’offrir un si beau ciel avec la plus belle des femmes de Tokyo.

Hataru souria, pendant qu’il avait dit ces mots, il n’avait pas regarder une seule fois Sayhuri, il continuait de contempler le ciel bleu océan, un ciel parfait, ni nuage ni oiseau ne perturbait ce moment d’intimité entre 2 amoureux obligé de se caché pour se montrer leur amour envers l’autre.



HRP : J’ai fait ce post entre 1h et 2h du matin le 1/04 et je suis crever mais je pense me connecter aujourd’hui donc si tu trouves des choses bizarres dans mes formulations de phrase dit le moi après ^^, je suis vraiment crever lol. A bientôt

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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyMar 1 Avr - 19:55

Sayhuri se demandait vraiment pourquoi elle ne pouvait pas vivre comme elle le voulait. Bien sûr, une jeune femme comme elle pouvait faire tellement de choses. Sauf que à cette époque, les femmes n'avaient pas de postes importants. La Maiko aurait voulut être apprentit samouraï et vivre des aventures hors du commun, pouvoir sortir et aimer qui elle veut. Cette liberté qu'elle n'avait pû vivre qu'avec Hataru, cette réscente liberté qu'elle appréciait tant mais qu'elle ne pouvait avoir. Si seulement elle avait était un homme, se dit-elle. Ils avaient plus de droits que les femmes ainsi que le choix du mariage. Chez les femmes de cette époque, c'était le père qui choisisait, la plus part du temps, l'époux. En plus, tant qu'elle ne serait pas Geisha, elle ne pourra pas épouser, elle ne pourra pas aimer sans avoir à se soucier de qui que se soit. Lorsqu'elle le deviendra, la jolie japonaise savait qu'elle quitterait ce monde de femme pour vivre dans la vie normale, en compagnie de Hataru, si elle aurait encore une place dans son coeur.

Les femmes étaient maltraitées dans ce monde, se fut la première chose qui choqua la Kyoshi. Elles n'avaient presque pas de droits, elles vivaient toujours derrière leur époux. A cette époque, les femmes ne vivaient que pour distraire leur mari, faire des enfants et s'occuper de la maison ainsi que de l'éducation des plus jeunes. Ce n'était pas une vie, c'était une suite d'évènements qui n'avaient pas de sens. Sayhuri, elle, aimerait vivre avec un homme gentil et ne pas être son esclave perver ou esclave tout court. La Maiko avait toujours envié ces femmes au mari dévoué, aux enfants adorables et bien élevés, une maison immense et un travail bien rémunéré. Hataru avait -il était sérieux lorsqu'il lui avait dit qu'il irait voir Okâsan ? Serait-il sérieux ? La prendrait-il comme épouse une fois qu'elle serait devenue une Geisha ? Vivraient-ils heureux comme tous ces couples que l'on voit dans ces nombreux films ? La vie n'était pas aussi pésible qu'elle n'en avait l'air pour la jeune femme vétue d'un kimono d'homme vert pomme. Elle serait surment suivie tous les jours par des hommes de Okâsan...L'aventure...

Le vent s'était calmé, le soleil était presque en son zénith, il devait être à vu d'oeil vers 12 heures. C'était un temps d'été parfait, il y avait juste une petite brise qui caressait le visage des deux jeunes gens. Sayhuri s'était à nouveau blotti contre le corps de son amant (=amoureux), sa joue droite posée contre son coeur et ses yeux rivés dans les siens. Heureusement qu'elle n'avait pas mis l'un de ses kimonos qui coûtait très cher car il serait surment si froissé qu'on aurait pû croire qu'il était fissuré. Le morceau de tissus qui retenait ses cheveux, une sorte de 'chouchou' improvisé, avait lâché, ses cheveux tombaient devant son doux visage, on pouvait juste aperçevoir le bleu pervanche de ses pupilles à travers les fils noirs de ses cheveux. Hataru la regarda un instant, il semblait aussi calme que la légère brise de vent qui faisait de temps en temps son apparition.

[Hataru]-J’aime le ciel, il est très beau aujourd’hui. Dans ma culture il faut remercier chaque chose pour ce qu’il nous procure. Il faut remercier la pomme de s’offrir à nous, comprends-tu ? Maintenant je remercie le ciel de m’offrir un si beau ciel avec la plus belle des femmes de Tokyo.

Le joues de Sayhuri rosirent légèrement, comme lorsqu'il l'avait embrassé pour la première fois, donc il n'y a pas longtemps. Comme toute femme au caractère doux, à l'allure innofensive et au coeur faible, la jolie jeune femme passa une main tendre sur le visage de Hataru, le lui caressant doucement. Sayhuri se pencha vers lui, lui détachant se qui lui servait 'd'élastique', ses cheveux tombèrent de la même manière que ceux de la Kyoshi. Ils étaient vraiment beau les siens. Bruns claires comme le pelage d'une biche, cela allait bien avec ses yeux. Comme si elle avait été sa femme, la Maiko passa une main dans les cheveux de Hataru tout en les humant. Elle arrêta pour ensuite poser sa tête sur torse musclé, réfléchissant à se qu'elle pourait bien lui répondre. Sayhuri trouva au bout de quelques secondes de silence.

[Sayhuri]-Je ne suis pas la plus belle. Comme tu le sais, la beauté est comme la jeunesse, elle n'est pas éternelle. Peut être m'aimes-tu simplement car tu me trouve belle, peut être ne me connais-tu pas au fond...Tu es comme n'importe quel homme de ce mon...enfin de cette ville, sauf que tu as la gentillesse ainsi que la douceur d'une biche mais tu as la férocité d'un lion additionnée à la beauté de l'art. Dis, as-tu été sincère lorsque tu as dis vouloir parler à Okâsan ?

La jeune japonaise s'arrêta, se redressa puis le regarda longuement, sans rien dire de plus. Son regard se perdit sur le visage paisible du jeune samouraï au coeur d'or et au physique qui ferait rêver de nombreuses femmes. Cette fois-ci elle en était sûr, elle l'aimait.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyJeu 3 Avr - 11:41

Hataru venait de dire une “leçon“ qu’il avait apprise lors de son entraînement de samouraï, il lui expliqua que les samouraïs devaient remercier tout ce qui les entoures pour ce qu’ils offrent aux être humains. Il remercia le ciel du temps qu’il offrait en ce moment et il exprima le bonheur qu’il avait à être sous ce ciel bleu clair et sans nuages avec la plus jolie fille de Tokyo. A ces mots, Sayhuri rougit comme la première fois qu’il l’avait embrassé, hier dans sa chambre. Hataru sourit, il remarque la bêtise qu’il avait failli faire en ne suivant pas le jeune Maiko dans ce champs, si il ne l’avait pas fait, il serai en train de rentré cher lui, seul, il aurai manqué tout ce qui se passe maintenant, il n’aurai pu conquérir le cœur de Sayhuri et serai retourné faire comme si cette soirée n’avait pas eu lieu, bien sur il s’en aurai souvenu encore longtemps mais il l’aurai caché et nié. Il ne voulait plus partir, il était bien ici, sous ce ciel radieux avec une femme radieuse.

Elle enleva le chignon des cheveux d’Hataru pour laissé pendre les longs cheveux du samouraï. Elle commença à les caresser avec ses doigts fins, Hataru sentit le contact avec les de la jeune Maiko comme une feuille que l’on donne à un enfant dans les rues. Cette enfant ressent de l’espoir, un sentiment qui lui fait croire que tout est possible sur ce monde, que tout est accessible qu’il faut juste tendre la bonne main au bon moment et l’on peut y parvenir. Hataru connaissait bien ce sentiment, il le ressentait souvent, l’espoir.
Mais elle s’arrêta en un coup, elle avait du réfléchir à quelque chose pendant qu’elle caressait ses cheveux, mais ce qu’allait dire Sayhuri n’était la réaction qu’il attendait :

[Sayhuri]-Je ne suis pas la plus belle. Comme tu le sais, la beauté est comme la jeunesse, elle n'est pas éternelle. Peut être m'aimes-tu simplement car tu me trouve belle, peut être ne me connais-tu pas au fond...Tu es comme n'importe quel homme de ce mon...enfin de cette ville, sauf que tu as la gentillesse ainsi que la douceur d'une biche mais tu as la férocité d'un lion additionnée à la beauté de l'art. Dis, as-tu été sincère lorsque tu as dis vouloir parler à Okâsan ?

Hataru remarqua qu’elle n’avait pas peur de vieillir, c’était assez marrant car beaucoup de personne ont peur de vieillir et mourir. Hataru, lui, n’avait pas peur de mourir, dans son métier on peut mourir à tout instant, mais il avait peur de trop vieillir et de ne plus pouvoir exercer son art, ne plus pouvoir protéger des innocents. Mais il constata qu’elle, elle n’avait pas peur de vieillir sans doute que son métier était plus intéressant lorsqu’on est vieux. Hataru n’en n’était pas sur mais préféra ne rien dire. Il se releva, regarda Sayhuri droit dans les yeux et lui dit :

[Hataru]- Tu crois que je ne t’aimerais pas lorsque nous serons vieux ? Sache que si tu es vieille, je serai vieux moi aussi, je n’ai pas peur de mourir. Mais pourquoi cette question ? C’est vrai que je ne te connais pas parfaitement, je ne connais pas ton plat préférer, ta couleur préférer mais je sais que tu es belle, gentil, polie et que tu sais te défendre. Rien que les 3 premières qualités font de toi une femme exceptionnel à mes yeux. Je suis peut être plus gentil et plus féroce que beaucoup de personne mais cela ne veut pas dire que je suis le seul à être beau et gentil, comme toi tu n’es pas la seul femme à être belle et gentil, mais ce n’est pas ton physique et même ton caractère qui font de toi la femme que j’aime, c’est tout simplement le mélange des 2 qui font de toi une femme superbe à mes yeux, d’autres personnes n’aimeraient pas ton caractère, certains pourraient le trouver trop réservé, trop ouvert, je ne sais pas mais, pour moi, tu es la femme idéal, celle que je n’aurai jamais plus dans ma vie. Si jamais tu as des doute sur mes sentiments demande moi de faire quelque chose qui pourrait te prouver mon amour, n’importe quoi sauf une chose ; partir et ne plus te revoir.

Une larme perla le long de la joue du samouraï, trop d’émotion c’était échapper en un coup et Hataru n’était pas habitué à ce genre de sentiment, c’était nouveau pour lui, il aurai pu torturé quelqu’un pendant des jours et des jours sans éprouver le moindre remord, le moindre doute, mais là c’était différent, ce n’était pas un combattant qui lui voulait du mal, c’était juste une femme, ou plutôt LA femme.


HRP, je ne sais pas faire d’action, je préfere te voir répondre ^^, je ferai une action après si tu veux.
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MessageSujet: Re: Etait-ce a regretter ? [Hataru]   Etait-ce a regretter ? [Hataru] EmptyJeu 3 Avr - 19:49

HRP : Oui, je voudrais bien ^^

[Hataru]- Tu crois que je ne t’aimerais pas lorsque nous serons vieux ? Sache que si tu es vieille, je serai vieux moi aussi, je n’ai pas peur de mourir. Mais pourquoi cette question ? C’est vrai que je ne te connais pas parfaitement, je ne connais pas ton plat préférer, ta couleur préférer mais je sais que tu es belle, gentil, polie et que tu sais te défendre. Rien que les 3 premières qualités font de toi une femme exceptionnel à mes yeux. Je suis peut être plus gentil et plus féroce que beaucoup de personne mais cela ne veut pas dire que je suis le seul à être beau et gentil, comme toi tu n’es pas la seul femme à être belle et gentil, mais ce n’est pas ton physique et même ton caractère qui font de toi la femme que j’aime, c’est tout simplement le mélange des 2 qui font de toi une femme superbe à mes yeux, d’autres personnes n’aimeraient pas ton caractère, certains pourraient le trouver trop réservé, trop ouvert, je ne sais pas mais, pour moi, tu es la femme idéal, celle que je n’aurai jamais plus dans ma vie. Si jamais tu as des doute sur mes sentiments demande moi de faire quelque chose qui pourrait te prouver mon amour, n’importe quoi sauf une chose ; partir et ne plus te revoir.

Sayhuri écouta les douces paroles de Hataru, le samouraï au coeur d'or et au visage d'ange. La jeune femme resta bouche bée après ses adorables paroles qui sortaient tout droit de son coeur. La jeune femme était si contente, si rassurée, de voir qu'il l'aimait vraiment, que ce n'était pas factice et qu'il était sérieux dans ses paroles. Après ses mots, elle aurait voulut se jeter sur lui pour l'embrasser mais elle se retient, elle ne voulait pas se jeter sur lui comme l'on se jète sur un morceau de viande. Mais son regard amoureux lui faisait perdre la tête. Ses beaux yeux se posant dans les siens, lui montrant toute l'affection qu'il lui porterait si c'était son époux, tout le désir qu'il éprouvait pour cette jeune femme au visage innocent comme un petit chaton venant de naître. Cette sensation de chaleur se répendait dans tout le corps de la Maiko, l'amour était une sensation bien agréable bien qu'un peu dangereuse. Ce dont Sayhuri était désormais sûr, c'était les sentiments qu'elle éprouvait pour ce jeune homme aux fausses allures de guerrier sanguinaire mélangées avec la tendresse d'un mari parfait. Elle ne désirait plus qu'une chose, de savoir qu'un jour, ils seraient peut être mari et femme, un rêve bien envieux.

Il n'avait pas répondut à sa question. Peut être l'avait-il intégré dans ses belles phrases mais la jolie et jeune japonaise ne l'avait pas entendu, ou du moin pas remarquée. La Maiko caressa doucement la joue de son amant puis recueillit la larme qui coulait doucement le long de la joue du samouraï aussi précieusement que si c'était du cristale. Au moment où la larme entra en contact avec le doigt fin de la Kyoshi, la larme glissa rapidement du doigt pour s'écraser sur le sol terreux du champ. Sayhuri esquissa un tendre sourire puis parcourut les allentours de son regard bleu océan. Son regard finis sa course pour se poser sur le visage fin de Hataru, elle ne pût s'empêcher de remarquer la grâce de ses traits. A travers les yeux du jeune homme, on pouvait voir son âme. On pouvait voir qu'il ferait tout pour sauver se qui lui était cher, se qu'il aimait tant, peut être était-ce Sayhuri ? En tout cas, la Kyoshi avait gardé une place importante à Hataru dans son coeur, la place principale.

Les yeux bleus pervanches de la charmante Maiko ne quittèrent pas ceux du beau samouraï. Elle admirait chaques parcelles de son corps, chaques détails, elle le notait à sa manière. Sayhuri notait son physique sur 10...Ba 9.5 car rien n'est parfait. Il avait les yeux qui la faisaient craqués, il avait le corps musclé à point, le regard charmeur et la gentillesse de tout gentlemann. La Kyoshi aurait voulut pouvoir l'avoir pour elle toute seule mais hélas elle ne pouvait pas, enfin pas pour l'instant. La jeune femme, déçue, laissa tombé. Elle préférait attendre que le temps passe, voir se que le samouraï ferait pour leur 'avenir' proche. Sayhuri s'approcha du visage du jeune Hataru, frottant son nez contre le sien d'une manière sensuelle, l'hypnotisant de son regard bleu tendre, le sourire aux lèvres. Elle lui susura faiblement.

[Sayhuri]-...Tu sais que...

La fin de sa phrase se brouilla dans un océan de sentiments tous plus diffus les uns que les autres. Sayhuri se sentit soudain rougir plus fortement que lorsqu'on lui avait dit la première fois se qu'elle devenait faire pour devenir une vrai Geisha. Elle ne se retint pas plus longtemps. La jolie Maiko se pencha légèrement en avant, sa bouche touchant la sienne mais ne s'enleva pas, ses yeux se clorent pour profiter du moment. Se ne fut pas comme la première fois, ni la deuxième, mais elle voulait que se soit elle qui le fasse pour une fois, sa change ! Leurs lèvres se décollèrent puis Sayhuri enfouit sa tête dans le creux du coup du samouraï, elle s'y réfugia comme un enfant se réfugie dans les jupes de sa mère lorsqu'il a un problème. La japonaise avait fait exactement pareille, elle profita de se moment pour se blottir contre Hataru pour ensuite finir sa phrase.

[Sayhuri]-...Je t'aime...
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